Comment t'es tu lancée dans le football?
Sandrine: "Par pur hasard. Tout d'abord c'était la seule association sportive de ma ville et avec des copains on jouait dans la cours de récréation et je me suis ensuite inscrite dans l'équipe de ma ville."
Tu es la joueuse, toutes catégories confondues, la plus sélectionnée en équipe de France, quelles-sont tes réactions suite à la fidélité des sélectionneurs?
Sandrine: "Si je suis encore là c'est qu'ils estiment que j'ai le niveau pour être là. Et si j'y ai ma place c'est parce que j'essaye de donner un max et de faire de bonnes performances. Etre en équipe de France depuis tout ce temps est un mélange de travail de rigueur et de plaisir."
Il y a quelques temps tu parlais d'abandonner ta place au sein des Bleues, qu'est ce qui t'a permis de vouloir continuer avec cette équipe?
Sandrine: "La confiance du coach, Bruno Bini. On avance tous les jours, et j'éprouve encore le plaisir de continuer. Et j'ai éprouver l'envie d'arrêter pour des raisons qui me sont personnelles."
Tu as maintenant 39 ans et une question se pose pour beaucoup de personnes qui est, le football est-il bientôt derrière toi?
Sandrine: "C'est plus derrière que devant moi, pour le moment je suis toujours présente, j'aurais le temps de me pencher sur mon passé quand j'aurais arrêté. L'histoire s'écrit encore aujourd'hui, le groupe ne m'appartient pas, j'appartiens au groupe"
Ce jeudi vous avez disputé le match France-Allemagne qui s'est terminé sur un nul, quel est l'état d'esprit de l'équipe suite à ce match?
Sandrine: "L'état d'esprit est de positiver, on réussit un match nul chez les championnes d'Europe et on a jamais fait de nul en Allemagne. On est là pour travailler et avancer. Je dirais pas qu'on est ravie du score mais contente de la prestation, on a toujours mieux à faire.
En ce qui concerne Juvisy en Ligue des Champions, en cas de victoire pour Lyon et Juvisy, ces deux équipes viendraient à se rencontrer en demie finale, est ce que cela a-t-il gâché le plaisir de l'équipe pour la suite de l'aventure où cela vous motive par le fait de rencontrer la seule équipe française en jeu à part vous?
Sandrine: "Non ça ne gâche rien, on trace notre route et elles la leur. On a 4 mois pour en causer et surtout de se concentrer on va déjà jouer contre Göteborg on verra par la suite."
Sandrine: "Par pur hasard. Tout d'abord c'était la seule association sportive de ma ville et avec des copains on jouait dans la cours de récréation et je me suis ensuite inscrite dans l'équipe de ma ville."
Tu es la joueuse, toutes catégories confondues, la plus sélectionnée en équipe de France, quelles-sont tes réactions suite à la fidélité des sélectionneurs?
Sandrine: "Si je suis encore là c'est qu'ils estiment que j'ai le niveau pour être là. Et si j'y ai ma place c'est parce que j'essaye de donner un max et de faire de bonnes performances. Etre en équipe de France depuis tout ce temps est un mélange de travail de rigueur et de plaisir."
Il y a quelques temps tu parlais d'abandonner ta place au sein des Bleues, qu'est ce qui t'a permis de vouloir continuer avec cette équipe?
Sandrine: "La confiance du coach, Bruno Bini. On avance tous les jours, et j'éprouve encore le plaisir de continuer. Et j'ai éprouver l'envie d'arrêter pour des raisons qui me sont personnelles."
Tu as maintenant 39 ans et une question se pose pour beaucoup de personnes qui est, le football est-il bientôt derrière toi?
Sandrine: "C'est plus derrière que devant moi, pour le moment je suis toujours présente, j'aurais le temps de me pencher sur mon passé quand j'aurais arrêté. L'histoire s'écrit encore aujourd'hui, le groupe ne m'appartient pas, j'appartiens au groupe"
Ce jeudi vous avez disputé le match France-Allemagne qui s'est terminé sur un nul, quel est l'état d'esprit de l'équipe suite à ce match?
Sandrine: "L'état d'esprit est de positiver, on réussit un match nul chez les championnes d'Europe et on a jamais fait de nul en Allemagne. On est là pour travailler et avancer. Je dirais pas qu'on est ravie du score mais contente de la prestation, on a toujours mieux à faire.
En ce qui concerne Juvisy en Ligue des Champions, en cas de victoire pour Lyon et Juvisy, ces deux équipes viendraient à se rencontrer en demie finale, est ce que cela a-t-il gâché le plaisir de l'équipe pour la suite de l'aventure où cela vous motive par le fait de rencontrer la seule équipe française en jeu à part vous?
Sandrine: "Non ça ne gâche rien, on trace notre route et elles la leur. On a 4 mois pour en causer et surtout de se concentrer on va déjà jouer contre Göteborg on verra par la suite."
