Alors que des rumeurs font état de tensions entre Waldemar Kita et Vahid Halilhodzic, et cela par rapport à un mercato qui s'annonce compliqué, le président du FC Nantes est rentré dans le jeu des journalistes en annonçant à L'Equipe qu'il y avait bien eu des discussions très houleuses entre les deux hommes.
« C’est un homme très ironique. Il est assez froid dans son ironie, et il faut bien le comprendre. Y a-t-il déjà eu des étincelles ? Oui, tout à fait. Nous nous sommes battus la semaine dernière. J’ai reçu une claque, il a reçu une claque. Mais comme il est beaucoup plus costaud que moi, et plus âgé (d’un an), je n’ai pas répondu à la deuxième claque qu’il a donnée. Ça vous va ? Mais c’est sérieux ! Oui, on s’est battus ! Ça vous plaît ? Alors écrivez-le. On n’était pas d’accord sur une certaine vision des choses et puis voilà… Oui, c’est sérieux, vous pouvez l’écrire. ça va faire boum, boum, boum… En fait, il faut tomber dans votre jeu : “Ah, ça y est, il l’a dit, ils vont se battre…” » a déclaré Kita avant d'évoquer avec plus de sérieux sa relation avec le technicien bosnien. « On a une relation cadre-président. Chacun pense que c’est moi qui fais tout. Oui, je prends des directions stratégiques, mais tout ce qui est football, c’est lui qui décide et ça a toujours été comme ça, poursuit-il. Après, quand je ne suis pas d’accord, je dis ce que je pense. Mais il est autonome. Il est très proche de Franck, avec qui il s’entend très bien. Je l’ai sur des décisions plus sensibles, comme le mercato. Mais au quotidien, il faut laisser les gens travailler. Je ne téléphone pas pour téléphoner, surtout quand les gens travaillent honnêtement et beaucoup. »
L'ironie est parfois source de vérité ...
« C’est un homme très ironique. Il est assez froid dans son ironie, et il faut bien le comprendre. Y a-t-il déjà eu des étincelles ? Oui, tout à fait. Nous nous sommes battus la semaine dernière. J’ai reçu une claque, il a reçu une claque. Mais comme il est beaucoup plus costaud que moi, et plus âgé (d’un an), je n’ai pas répondu à la deuxième claque qu’il a donnée. Ça vous va ? Mais c’est sérieux ! Oui, on s’est battus ! Ça vous plaît ? Alors écrivez-le. On n’était pas d’accord sur une certaine vision des choses et puis voilà… Oui, c’est sérieux, vous pouvez l’écrire. ça va faire boum, boum, boum… En fait, il faut tomber dans votre jeu : “Ah, ça y est, il l’a dit, ils vont se battre…” » a déclaré Kita avant d'évoquer avec plus de sérieux sa relation avec le technicien bosnien. « On a une relation cadre-président. Chacun pense que c’est moi qui fais tout. Oui, je prends des directions stratégiques, mais tout ce qui est football, c’est lui qui décide et ça a toujours été comme ça, poursuit-il. Après, quand je ne suis pas d’accord, je dis ce que je pense. Mais il est autonome. Il est très proche de Franck, avec qui il s’entend très bien. Je l’ai sur des décisions plus sensibles, comme le mercato. Mais au quotidien, il faut laisser les gens travailler. Je ne téléphone pas pour téléphoner, surtout quand les gens travaillent honnêtement et beaucoup. »
L'ironie est parfois source de vérité ...