Dimanche 20 novembre 2022 sonnera le début du mondial 2022 au Qatar. Un mondial particulier à de nombreux égards. Tout d'abord parce que cette Coupe du Monde va se dérouler en milieu de saison. Ensuite en raison d'un manque d'engouement criant. Enfin et surtout, un mondial dans l'oeil du cyclone en raison de nombreuses polémiques qui se sont accentuées au fil des mois.
Toujours est-il que ce mondial 2022 va bel et bien se dérouler au Qatar, et qu'il y aura donc bien un vainqueur qui figurera dans l'histoire de la plus prestigieuse des compétitions dédiées au foot. Et parmi les favoris il y a notamment le Brésil de Neymar, Marquinhos, Thiago Silva, Vinicius Jr ou encore Casemiro.
Un favoris qui va devoir se méfier et éviter d'être trop confiant. C'est en effet ce qu'à tenu à souligner l'ex international brésilien, Juninho.
« Le Brésil n’a aucune garantie d’être champion du monde. En 2006, on était champions en titre et on avait passé quatre ans sans être suffisamment concentrés. On était très, trop confiants. Ç’a été mal géré par le sélectionneur (Carlos Alberto Parreira). Tout le monde disait qu’on était les meilleurs et lui allait aussi dans ce sens-là, en disant qu’il pensait à la finale. Pendant notre préparation, on avait des caméras autour de nous sans arrêt car il y avait le projet de faire un film sur cette génération historique. Donc, le travail n’était pas bien fait, même si on avait une très bonne équipe, et on a souffert sur tous les matches. » a t'il confié dans les colonnes de L'Equipe.
Toujours est-il que ce mondial 2022 va bel et bien se dérouler au Qatar, et qu'il y aura donc bien un vainqueur qui figurera dans l'histoire de la plus prestigieuse des compétitions dédiées au foot. Et parmi les favoris il y a notamment le Brésil de Neymar, Marquinhos, Thiago Silva, Vinicius Jr ou encore Casemiro.
Un favoris qui va devoir se méfier et éviter d'être trop confiant. C'est en effet ce qu'à tenu à souligner l'ex international brésilien, Juninho.
« Le Brésil n’a aucune garantie d’être champion du monde. En 2006, on était champions en titre et on avait passé quatre ans sans être suffisamment concentrés. On était très, trop confiants. Ç’a été mal géré par le sélectionneur (Carlos Alberto Parreira). Tout le monde disait qu’on était les meilleurs et lui allait aussi dans ce sens-là, en disant qu’il pensait à la finale. Pendant notre préparation, on avait des caméras autour de nous sans arrêt car il y avait le projet de faire un film sur cette génération historique. Donc, le travail n’était pas bien fait, même si on avait une très bonne équipe, et on a souffert sur tous les matches. » a t'il confié dans les colonnes de L'Equipe.