Le TFC obligé de vendre Amine Adli - Damien Comolli réclame un premier contrat pro de 5 ans
Amine Adli est le parfait exemple d'un gros problème rencontré par les clubs Français. En fin de contrat en juin 2022 au Toulouse Football Club, ce jeune attaquant de 21 ans refuse de prolonger son contrat au TFC. De ce fait le club toulousain est donc dans l'obligation de vendre sa pépite dès ce Mercato d'été afin d'éviter qu'il parte gratuitement en fin de saison prochaine.
Une aberration pour le président du TFC, Damien Comolli, qui milite pour une "réforme urgente" afin de permettre aux clubs de garder plus longtemps la main sur leurs jeunes joueurs, en proposant notamment l'obligation d'un premier contrat de 5 ans.
" C’est une réforme urgente. Nos clubs ont besoin de pouvoir se projeter dans la gestion de leurs effectifs. Mais on est constamment sous pression. Chez nous, on se retrouve dans la situation de devoir vendre Amine Adli parce qu’il ne veut pas prolonger et qu’il ne lui reste plus qu’un an de contrat. Un autre joueur, dans la même situation contractuelle, veut bien prolonger mais avec une garantie de temps de jeu. Avec un premier contrat de 5 ans, les choses seraient plus simples. Pour le joueur qui veut du temps de jeu, on aurait le temps d’envisager un prêt. Et le risque de voir partir un joueur libre ou faire une erreur en le prolongeant trop vite serait moindre. ", a confié Comolli dans les colonnes de L'Equipe.
Une proposition très intéressante sur le papier, mais qui devra néanmoins être accompagnée d'une réforme sur les quotas de jeunes joueurs intégrés en équipe première. A titre d'exemple, les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 pourraient être dans l'obligation d'intégrer sur les feuilles de match un nombre plus important de joueurs formés au club.
En attendant le Toulouse Football Club est donc dans l'obligation de vendre Amine Adli avant la fin du Mercato. Un jeune joueur qui pourrait néanmoins rester en France, puisque l'Olympique de Marseille et le LOSC sont sur les rangs pour accueillir le jeune attaquant français.
Une aberration pour le président du TFC, Damien Comolli, qui milite pour une "réforme urgente" afin de permettre aux clubs de garder plus longtemps la main sur leurs jeunes joueurs, en proposant notamment l'obligation d'un premier contrat de 5 ans.
" C’est une réforme urgente. Nos clubs ont besoin de pouvoir se projeter dans la gestion de leurs effectifs. Mais on est constamment sous pression. Chez nous, on se retrouve dans la situation de devoir vendre Amine Adli parce qu’il ne veut pas prolonger et qu’il ne lui reste plus qu’un an de contrat. Un autre joueur, dans la même situation contractuelle, veut bien prolonger mais avec une garantie de temps de jeu. Avec un premier contrat de 5 ans, les choses seraient plus simples. Pour le joueur qui veut du temps de jeu, on aurait le temps d’envisager un prêt. Et le risque de voir partir un joueur libre ou faire une erreur en le prolongeant trop vite serait moindre. ", a confié Comolli dans les colonnes de L'Equipe.
Une proposition très intéressante sur le papier, mais qui devra néanmoins être accompagnée d'une réforme sur les quotas de jeunes joueurs intégrés en équipe première. A titre d'exemple, les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 pourraient être dans l'obligation d'intégrer sur les feuilles de match un nombre plus important de joueurs formés au club.
En attendant le Toulouse Football Club est donc dans l'obligation de vendre Amine Adli avant la fin du Mercato. Un jeune joueur qui pourrait néanmoins rester en France, puisque l'Olympique de Marseille et le LOSC sont sur les rangs pour accueillir le jeune attaquant français.