Le Stade Rennais, une équipe au gros potentiel mais qui peine à franchir un cap. Régulièrement dans le top 5 de la Ligue 1 depuis plusieurs saisons, Rennes coince toujours au moment de mettre le coup de collier nécessaire pour être un prétendant au titre. Et cette saison est bien partie pour ne pas déroger à la règle.
Huitième de Ligue 1, le SRFC réalise un début de saison mitigé malgré un mercato intéressant sur le papier. Mais visiblement pas assez pour s'inscrire comme un prétendant au titre. Une situation qui résulte peut-être d'un plafond de verre atteint sur le plan financier. Ce qui pourrait être problématique.
Selon plusieurs suiveurs du club breton, le Roazhon Park serait justement un handicap pour le développement économique du Stade Rennais. D'une capacité d'environ 30 000 places, l'antre du SRFC n'est plus en adéquation avec les besoins du foot moderne en termes de retombées économiques. Bruno Genesio, entraîneur du Stade Rennais, avait récemment pointé du doigt les limites du Roazhon Park.
A titre informatif, les recettes de matches lors de la saison 2021-2022 s'élèvent à seulement 11 millions d'euros, soit 3 fois moins qu'un club comme l'Olympique de Marseille et même 60% de moins que le LOSC. Mais au delà des recettes de matches, cela joue également sur le sponsoring.
Lors d'une conférence de presse organisée au Roazhon Park ce jeudi pour discuter des récentes modifications liées au fair-play financier et de leur influence sur le Stade Rennais Football Club, Benoît Muller, directeur général adjoint du SRFC, a naturellement abordé la question du nouveau stade.
Il a souligné l'importance de s'aligner sur les ambitions sportives élevées du club à long terme, tout en mettant l'accent sur l'anticipation de l'avenir. Muller a déclaré à Ouest-France : "Pour assurer notre progression, il est essentiel d'examiner toutes les possibilités qui se présentent à nous. Si nous demeurons inactifs, le potentiel de développement du club pourrait entraver nos performances. Il est crucial de noter que les investissements dans les infrastructures ne sont pas pris en compte dans les règles du fair-play financier, de même que les aménagements à la Piverdière n'auront pas d'impact direct sur nos bilans financiers. Le fair-play financier encourage explicitement les investissements dans les actifs physiques."
Ces commentaires renforcent davantage l'idée que le projet d'un nouveau stade n'est pas une simple hypothèse, mais une initiative bien ancrée qui commence à faire son bonhomme de chemin.
Huitième de Ligue 1, le SRFC réalise un début de saison mitigé malgré un mercato intéressant sur le papier. Mais visiblement pas assez pour s'inscrire comme un prétendant au titre. Une situation qui résulte peut-être d'un plafond de verre atteint sur le plan financier. Ce qui pourrait être problématique.
Selon plusieurs suiveurs du club breton, le Roazhon Park serait justement un handicap pour le développement économique du Stade Rennais. D'une capacité d'environ 30 000 places, l'antre du SRFC n'est plus en adéquation avec les besoins du foot moderne en termes de retombées économiques. Bruno Genesio, entraîneur du Stade Rennais, avait récemment pointé du doigt les limites du Roazhon Park.
A titre informatif, les recettes de matches lors de la saison 2021-2022 s'élèvent à seulement 11 millions d'euros, soit 3 fois moins qu'un club comme l'Olympique de Marseille et même 60% de moins que le LOSC. Mais au delà des recettes de matches, cela joue également sur le sponsoring.
Lors d'une conférence de presse organisée au Roazhon Park ce jeudi pour discuter des récentes modifications liées au fair-play financier et de leur influence sur le Stade Rennais Football Club, Benoît Muller, directeur général adjoint du SRFC, a naturellement abordé la question du nouveau stade.
Il a souligné l'importance de s'aligner sur les ambitions sportives élevées du club à long terme, tout en mettant l'accent sur l'anticipation de l'avenir. Muller a déclaré à Ouest-France : "Pour assurer notre progression, il est essentiel d'examiner toutes les possibilités qui se présentent à nous. Si nous demeurons inactifs, le potentiel de développement du club pourrait entraver nos performances. Il est crucial de noter que les investissements dans les infrastructures ne sont pas pris en compte dans les règles du fair-play financier, de même que les aménagements à la Piverdière n'auront pas d'impact direct sur nos bilans financiers. Le fair-play financier encourage explicitement les investissements dans les actifs physiques."
Ces commentaires renforcent davantage l'idée que le projet d'un nouveau stade n'est pas une simple hypothèse, mais une initiative bien ancrée qui commence à faire son bonhomme de chemin.