Auteur d'une première partie de saison intéressante, Kamaldeen Sulemana, n'a quasiment pas joué en 2022. La faute à une blessure au dos qui prend un temps à fou à se résorber. Une situation difficile à vivre pour l'ailier international ghanéen du Stade Rennais, arrivé l'été dernier à Rennes pour 15 millions d'euros en provenance du FC Nordsjaelland.
"C’est difficile. Il y a des hauts et des bas. Je suis content quand l’équipe a des résultats et qu’elle joue bien mais c’est dur de ne pas y prendre part et de se contenter de regarder les matchs devant la télé ou assis au stade. J’aimerais être sur le terrain et dans le vestiaire pour faire ce que je sais faire et ce que j’aime faire. Je ne peux pas être satisfait. (...) C’est la première fois que je suis arrêté si longtemps dans ma carrière professionnelle. Je n’ai pas eu de souci quand j’étais au Danemark. Cette blessure est plus longue que prévu. C’est un peu les montagnes russes. Au début de la blessure, après deux semaines, je me sentais bien. Je pensais pouvoir être de retour rapidement. Tu reprends la course, tu reviens sur les terrains et là tu ressens une douleur. Puis tu retravailles dur, tu fais tout ce qu’il faut pour revenir et les douleurs reviennent de nouveau. Quand tu espères beaucoup et que ce n’est finalement toujours pas le moment du retour, c’est dur à accepter. J’aurais préféré qu’on me dise, tu en as pour trois ou quatre mois, c’est mieux pour le mental. Mais avec cette blessure, c’est impossible de pouvoir dire ce genre de chose. Là, toutes les deux semaines, le retour est reporté. Mais je fais toujours partie de l’équipe. Loïc Badé est revenu, Jérémy Doku et moi on reviendra aussi bientôt. Ce sont deux joueurs qui méritent de retrouver leur meilleur niveau. C’est un plaisir de travailler avec eux", a t'il confié au site officiel du Stade Rennais.
La question est désormais de savoir si on va revoir Kamaldeen Sulemana refouler les terrains de Ligue 1 d'ici la fin de saison ...
"C’est difficile. Il y a des hauts et des bas. Je suis content quand l’équipe a des résultats et qu’elle joue bien mais c’est dur de ne pas y prendre part et de se contenter de regarder les matchs devant la télé ou assis au stade. J’aimerais être sur le terrain et dans le vestiaire pour faire ce que je sais faire et ce que j’aime faire. Je ne peux pas être satisfait. (...) C’est la première fois que je suis arrêté si longtemps dans ma carrière professionnelle. Je n’ai pas eu de souci quand j’étais au Danemark. Cette blessure est plus longue que prévu. C’est un peu les montagnes russes. Au début de la blessure, après deux semaines, je me sentais bien. Je pensais pouvoir être de retour rapidement. Tu reprends la course, tu reviens sur les terrains et là tu ressens une douleur. Puis tu retravailles dur, tu fais tout ce qu’il faut pour revenir et les douleurs reviennent de nouveau. Quand tu espères beaucoup et que ce n’est finalement toujours pas le moment du retour, c’est dur à accepter. J’aurais préféré qu’on me dise, tu en as pour trois ou quatre mois, c’est mieux pour le mental. Mais avec cette blessure, c’est impossible de pouvoir dire ce genre de chose. Là, toutes les deux semaines, le retour est reporté. Mais je fais toujours partie de l’équipe. Loïc Badé est revenu, Jérémy Doku et moi on reviendra aussi bientôt. Ce sont deux joueurs qui méritent de retrouver leur meilleur niveau. C’est un plaisir de travailler avec eux", a t'il confié au site officiel du Stade Rennais.
La question est désormais de savoir si on va revoir Kamaldeen Sulemana refouler les terrains de Ligue 1 d'ici la fin de saison ...