Après un début de saison compliqué qui s'est traduit pas une lourde défaite face à l'Olympique de Marseille (1-5) et un revers face au RC Lens (2-0), le Stade Brestois a redressé la barre. En effet, Brest reste sur 5 victoires et 2 défaites toutes compétitions confondues.
Un redressement a mettre au crédit d'un Eric Roy qui n'a pas paniqué et qui a su remettre son groupe en ordre de bataille. Sans aucun doute l'homme fort de Brest, l'entraîneur du SB29 au gros caractère, a su imposer sa philosophie de jeu mais également tenir tête à son directeur sportif.
Invité de l'émission Hors Jeu sur Twitch, Maxime Lopez qui a rejoint le Paris FC fin aout, a confié avoir été approché par Grégory Lorenzi lors du mercato d'été. Néanmoins, Eric Roy a rapidement mis son veto.
"J’avais Brest, mais c’était particulier. Le directeur sportif m’aimait bien, mais le coach ne me voulait pas. Je n’étais pas le premier choix, je n’ai pas parlé avec lui, mais je savais qu’il ne me voulait pas", a confié le joueur formé à l'OM.
Un redressement a mettre au crédit d'un Eric Roy qui n'a pas paniqué et qui a su remettre son groupe en ordre de bataille. Sans aucun doute l'homme fort de Brest, l'entraîneur du SB29 au gros caractère, a su imposer sa philosophie de jeu mais également tenir tête à son directeur sportif.
Invité de l'émission Hors Jeu sur Twitch, Maxime Lopez qui a rejoint le Paris FC fin aout, a confié avoir été approché par Grégory Lorenzi lors du mercato d'été. Néanmoins, Eric Roy a rapidement mis son veto.
"J’avais Brest, mais c’était particulier. Le directeur sportif m’aimait bien, mais le coach ne me voulait pas. Je n’étais pas le premier choix, je n’ai pas parlé avec lui, mais je savais qu’il ne me voulait pas", a confié le joueur formé à l'OM.