Alors que les supporters du Stade Brestois savourent encore l'exploit historique de leur club, qualifié pour la plus prestigieuse compétition européenne, à savoir la Ligue des Champions, une note discordante vient ternir l'euphorie ambiante à Brest : le mercato estival.
En effet, si les arrivées Ludovic Ajorque et Abdoulaye Ndiaye ont permis de renforcer l'équipe, on est quand même loin d'un mercato ambitieux à Brest. Et pour le coup, l'entraîneur du Stade Brestois, Eric Roy, qui est bien conscient des limites financières du son club, a tout de même fait part de sa frustration.
"J’attends des arrivées. Quand ? Je ne sais pas. Tu es toujours inquiet dans le fait que tu aimerais avoir l’effectif complet. Mais après, pas besoin de se torturer l’esprit. On fera comme on peut. Et Brest fait souvent comme il peut dans le mercato. On pensait, quelque part, être plus attractif, mais on se rend compte que ce n’est pas forcément le cas. Les raisons ? C’est toujours pareil. Les joueurs veulent plus d’argent, les clubs veulent plus d’argent. Et le club ne va pas faire n’importe quoi pour se mettre en danger pour la suite alors que la Ligue des Champions, c’est a priori programmé que pour cette année", a t'il confié au Télégramme.
On comprend parfaitement l'inquiétude à peine dissimulée de Eric Roy. Conscient que son équipe était en surrégime la saison dernière, le coach brestois sait que cette saison sera bien compliquée, notamment avec un calendrier plus chargé en raison de la Ligue des Champions.
Une inquiétude d'autant plus légitime que les arrivées de Ajorque et Ndiaye ont juste permis de compenser les départs de Steve Mounié et Lilian Brassier. Si à cela on rajoute les départs de Kamory Doumbia et Martin Satriano qui n'étaient que prêtés, le Stade Brestois est pour l'heure moins armé que la saison dernière.
En effet, si les arrivées Ludovic Ajorque et Abdoulaye Ndiaye ont permis de renforcer l'équipe, on est quand même loin d'un mercato ambitieux à Brest. Et pour le coup, l'entraîneur du Stade Brestois, Eric Roy, qui est bien conscient des limites financières du son club, a tout de même fait part de sa frustration.
"J’attends des arrivées. Quand ? Je ne sais pas. Tu es toujours inquiet dans le fait que tu aimerais avoir l’effectif complet. Mais après, pas besoin de se torturer l’esprit. On fera comme on peut. Et Brest fait souvent comme il peut dans le mercato. On pensait, quelque part, être plus attractif, mais on se rend compte que ce n’est pas forcément le cas. Les raisons ? C’est toujours pareil. Les joueurs veulent plus d’argent, les clubs veulent plus d’argent. Et le club ne va pas faire n’importe quoi pour se mettre en danger pour la suite alors que la Ligue des Champions, c’est a priori programmé que pour cette année", a t'il confié au Télégramme.
On comprend parfaitement l'inquiétude à peine dissimulée de Eric Roy. Conscient que son équipe était en surrégime la saison dernière, le coach brestois sait que cette saison sera bien compliquée, notamment avec un calendrier plus chargé en raison de la Ligue des Champions.
Une inquiétude d'autant plus légitime que les arrivées de Ajorque et Ndiaye ont juste permis de compenser les départs de Steve Mounié et Lilian Brassier. Si à cela on rajoute les départs de Kamory Doumbia et Martin Satriano qui n'étaient que prêtés, le Stade Brestois est pour l'heure moins armé que la saison dernière.