Si le mercato du Stade Brestois a mis du temps à se décanter, le directeur sportif de Brest, Grégory Lorenzi, garde en travers de la gorge l'échec dans le dossier Martin Satriano.
En effet, Lorenzi regrette le manque d'honnêteté de l'attaquant uruguayen qui a rejoint le RC Lens, alors qu'initialement il ne voulait pas revenir en France. Une décision d'autant plus surprenante pour le dirigeant breton, que le SB29 était prêt à faire de gros efforts pour le recruter définitivement.
"On est déçu pour Martin car on a mis beaucoup d’énergie, beaucoup de temps pour convaincre l’Inter de Milan pour faire le plus gros transfert du club, on a fait une très belle proposition au joueur. II voulait l’Espagne, ne voulait pas revenir en France. D’abord son agent nous disait qu’il n’avait pas d’autre option que Brest qu’il fallait lui laisser le temps qu’il digère, qu’il fasse le deuil car il devait partir définitivement de l’inter de Milan, je le comprends. Et au fur et à mesure Brest ne devenait plus un choix prioritaire parce que la France n’était plus d’actualité. Le coach a appelé 4-5 fois le joueur, il n’a jamais répondu. Je lui ai envoyé un message et je l’ai appelé, il n’a jamais répondu. Il signe en France. J’accepte les choix, mais ça doit interpeller les gens, Lens ne fait pas de coupe d’Europe. Peut-être a-t-il préféré la ferveur de Lens le stade de Lens, le poids médiatique du club Lens. Le salaire ? Ça m’étonnerait, on a vraiment fait des efforts pour essayer de garder Martin", a confié Lorenzi à Ouest France.
En effet, Lorenzi regrette le manque d'honnêteté de l'attaquant uruguayen qui a rejoint le RC Lens, alors qu'initialement il ne voulait pas revenir en France. Une décision d'autant plus surprenante pour le dirigeant breton, que le SB29 était prêt à faire de gros efforts pour le recruter définitivement.
"On est déçu pour Martin car on a mis beaucoup d’énergie, beaucoup de temps pour convaincre l’Inter de Milan pour faire le plus gros transfert du club, on a fait une très belle proposition au joueur. II voulait l’Espagne, ne voulait pas revenir en France. D’abord son agent nous disait qu’il n’avait pas d’autre option que Brest qu’il fallait lui laisser le temps qu’il digère, qu’il fasse le deuil car il devait partir définitivement de l’inter de Milan, je le comprends. Et au fur et à mesure Brest ne devenait plus un choix prioritaire parce que la France n’était plus d’actualité. Le coach a appelé 4-5 fois le joueur, il n’a jamais répondu. Je lui ai envoyé un message et je l’ai appelé, il n’a jamais répondu. Il signe en France. J’accepte les choix, mais ça doit interpeller les gens, Lens ne fait pas de coupe d’Europe. Peut-être a-t-il préféré la ferveur de Lens le stade de Lens, le poids médiatique du club Lens. Le salaire ? Ça m’étonnerait, on a vraiment fait des efforts pour essayer de garder Martin", a confié Lorenzi à Ouest France.