Le Stade Brestois est sans aucun doute la révélation de cette saison en Ligue 1 ; une révélation encore plus surprenante que le RC Lens saison 2022-2023. Deuxième de Ligue 1 après 28 journées de championnat, Brest qui va affronter Lyon ce dimanche, dispose d'un beau matelas de 9 points d'avance sur le 5ème Nice. Autant dire que la Ligue des Champions est à portée de crampons du SB29.
Mais ce scénario peut-il mettre la pression sur les épaules des joueurs dirigés par Eric Roy dans la dernière ligne droite du championnat ? Conscient de la force de son collectif, Eric Roy sera à coup sûr la clé pour maintenir l'état d'esprit qui anime ses hommes depuis le début de saison. Et ca, il l'a bien compris.
"Le groupe ne change pas d'état d'esprit. On doit rester concentrés sur ce qu'on a envie de faire. On ne regarde pas les autres, certains clubs vont prendre les 18 points restants. Nous, on n'a pas de pression ou d'obligations. Du coup, on est plutôt bien dans nos baskets"
Un discours à l'expérience, même s'il est difficile de croire que la pression n'est pas un peu plus forte depuis quelques semaines. Car oui, ne pas terminer à l'une des quatre premières places serait une grosse désillusion. Ca peut paraître paradoxal pour l'un des plus petits budgets de Ligue 1 qui jouait le maintien la saison dernière, mais après une telle saison ca serait une grosse déception de voir Brest craquer à 6 journées de la fin du championnat.
Mais ce scénario peut-il mettre la pression sur les épaules des joueurs dirigés par Eric Roy dans la dernière ligne droite du championnat ? Conscient de la force de son collectif, Eric Roy sera à coup sûr la clé pour maintenir l'état d'esprit qui anime ses hommes depuis le début de saison. Et ca, il l'a bien compris.
"Le groupe ne change pas d'état d'esprit. On doit rester concentrés sur ce qu'on a envie de faire. On ne regarde pas les autres, certains clubs vont prendre les 18 points restants. Nous, on n'a pas de pression ou d'obligations. Du coup, on est plutôt bien dans nos baskets"
Un discours à l'expérience, même s'il est difficile de croire que la pression n'est pas un peu plus forte depuis quelques semaines. Car oui, ne pas terminer à l'une des quatre premières places serait une grosse désillusion. Ca peut paraître paradoxal pour l'un des plus petits budgets de Ligue 1 qui jouait le maintien la saison dernière, mais après une telle saison ca serait une grosse déception de voir Brest craquer à 6 journées de la fin du championnat.