Champion d'Espagne en titre, le FC Barcelone de Xavi espère le redevenir en 2024 avec en prime une renaissance en C1. Après une première partie de saison très moyenne avec de drôles de résultats qui donnent un Barça quatrième avec la 7e défense, 11 victoires (sur 18) en Liga et seulement trois (!) victoires avec plus d'un but d'écart contre Royal Antwerp, Cadiz, et certes le Bétis Séville...
Les critiques sur le début de saison quelconque du club catalan sont nombreuses et légitimes. Auteur de trois malheureux buts depuis septembre, Robert Lewandowski ne peut donc y échapper même s'il a 9 buts en 21 rencontres avec le Barça. Des stats convenables pour un joueur moyen, mais indigne pour celui qui a su franchir la barre des 50 buts à six reprises avec le Bayern.
Le journaliste de Sport, Ernest Folch a tenté la semaine dernière dans son article d'opinion de trouver les raisons du problème actuel de Lewandowski qui pourrait se transformer en "cocktail diabolique pour le Barça". Car il faut rappeler que le géant polonais a un contrat qui court jusqu'en 2026 !
Les critiques sur le début de saison quelconque du club catalan sont nombreuses et légitimes. Auteur de trois malheureux buts depuis septembre, Robert Lewandowski ne peut donc y échapper même s'il a 9 buts en 21 rencontres avec le Barça. Des stats convenables pour un joueur moyen, mais indigne pour celui qui a su franchir la barre des 50 buts à six reprises avec le Bayern.
Le journaliste de Sport, Ernest Folch a tenté la semaine dernière dans son article d'opinion de trouver les raisons du problème actuel de Lewandowski qui pourrait se transformer en "cocktail diabolique pour le Barça". Car il faut rappeler que le géant polonais a un contrat qui court jusqu'en 2026 !
Le déclin de Lewandowski a peut-être déjà commencé...
Explications :
" Malgré des stats pas non plus catastrophiques, Lewandowski est très loin de ses chiffres historiques et son jeu est depuis longtemps une île déconnectée du jeu de l'équipe. (...). Le problème avec lui est qu'on peut pas encore élucider si son faible rendement est une crise circonstancielle comme celle qui arrive parfois aux attaquants qui ne marquent pas et de celle qui se règlera bientôt lorsque la confiance sera retrouvée, ou s'il s'agit d'une crise structurelle liée à son physique en déclin (36 ans en août) ou sa motivation, conscient d'avoir déjà atteint la dernière ligne droite de sa carrière. (...).
Le remplacement de Messi était émotionnellement et sportivement une fantaisie impossible, pas seulement parce que ses 25-30 buts annuels sont irremplaçables mais surtout parce qu'il n'existe pas un seul joueur qui puisse rappeler son leadership social, sportif et émotionnel, pas même Lewandowski. Curieusement, l'unique chose dans laquelle se ressemble de plus en plus Messi et Lewa réside dans le salaire : la saison prochaine, le polonais touchera 32 M. bruts, en vertu d'un de ces contrats en hausse qu'on a tant critiqué chez l'ancienne direction.
C'est le cocktail diabolique que menace aujourd'hui Robert Lewandowski : une tension croissante avec Xavi, l'incapacité d'être le leader promis de cette nouvelle ère post-Messi, et enfin un contrat presque impensable à l'avenir, aussi signé soit-il (...).
" Malgré des stats pas non plus catastrophiques, Lewandowski est très loin de ses chiffres historiques et son jeu est depuis longtemps une île déconnectée du jeu de l'équipe. (...). Le problème avec lui est qu'on peut pas encore élucider si son faible rendement est une crise circonstancielle comme celle qui arrive parfois aux attaquants qui ne marquent pas et de celle qui se règlera bientôt lorsque la confiance sera retrouvée, ou s'il s'agit d'une crise structurelle liée à son physique en déclin (36 ans en août) ou sa motivation, conscient d'avoir déjà atteint la dernière ligne droite de sa carrière. (...).
Le remplacement de Messi était émotionnellement et sportivement une fantaisie impossible, pas seulement parce que ses 25-30 buts annuels sont irremplaçables mais surtout parce qu'il n'existe pas un seul joueur qui puisse rappeler son leadership social, sportif et émotionnel, pas même Lewandowski. Curieusement, l'unique chose dans laquelle se ressemble de plus en plus Messi et Lewa réside dans le salaire : la saison prochaine, le polonais touchera 32 M. bruts, en vertu d'un de ces contrats en hausse qu'on a tant critiqué chez l'ancienne direction.
C'est le cocktail diabolique que menace aujourd'hui Robert Lewandowski : une tension croissante avec Xavi, l'incapacité d'être le leader promis de cette nouvelle ère post-Messi, et enfin un contrat presque impensable à l'avenir, aussi signé soit-il (...).
