Le Real Madrid est mécontent des circonstances entourant l'égalisation de Kevin De Bruyne lors de la demi-finale aller de la Ligue des Champions contre Manchester City (1-1). Le banc madrilène, notamment Carlo Ancelotti, habituellement calme, s'est emporté contre l'arbitre pour avoir validé le but.
L'entraîneur madrilène affirme que le ballon était sorti en touche vingt secondes avant le but sur une passe mal assurée de Kyle Walker vers Bernardo Silva. Malgré les protestations du Real Madrid, l'arbitre a laissé le jeu se poursuivre.
De Bruyne a ensuite vu son centre contré par Modric, puis Camavinga a manqué sa relance, qui a été interceptée par Rodri. Le milieu de terrain a ensuite trouvé Jack Grealish qui a décalé De Bruyne, l'auteur de la frappe égalisatrice.
Selon les lois du jeu de l'IFAB, l'arbitre peut recourir à la VAR pour annuler un but si "le ballon est hors-jeu avant le but". Cependant, contrairement à la ligne de but qui est équipée d'un système électronique pour déterminer si le ballon l'a franchie entièrement ou non, les autres lignes du terrain ne disposent pas de cette technologie.
Par conséquent, les arbitres vidéo et l'arbitre central doivent se fier à leur seule perception pour déterminer si le ballon a quitté les limites du terrain. Une image 3D diffusée par BeIN Sports montrait que le ballon avait franchi intégralement la ligne de touche, mais cette preuve n'a aucune valeur pour l'arbitre.
L'entraîneur madrilène affirme que le ballon était sorti en touche vingt secondes avant le but sur une passe mal assurée de Kyle Walker vers Bernardo Silva. Malgré les protestations du Real Madrid, l'arbitre a laissé le jeu se poursuivre.
De Bruyne a ensuite vu son centre contré par Modric, puis Camavinga a manqué sa relance, qui a été interceptée par Rodri. Le milieu de terrain a ensuite trouvé Jack Grealish qui a décalé De Bruyne, l'auteur de la frappe égalisatrice.
Selon les lois du jeu de l'IFAB, l'arbitre peut recourir à la VAR pour annuler un but si "le ballon est hors-jeu avant le but". Cependant, contrairement à la ligne de but qui est équipée d'un système électronique pour déterminer si le ballon l'a franchie entièrement ou non, les autres lignes du terrain ne disposent pas de cette technologie.
Par conséquent, les arbitres vidéo et l'arbitre central doivent se fier à leur seule perception pour déterminer si le ballon a quitté les limites du terrain. Une image 3D diffusée par BeIN Sports montrait que le ballon avait franchi intégralement la ligne de touche, mais cette preuve n'a aucune valeur pour l'arbitre.
Eduardo Iturralde Gonzalez, ancien arbitre espagnol, avance un autre point de règlement pour expliquer pourquoi le recours à la vidéo n'était pas possible. Selon lui, l'action du but, qui a débuté par la perte de balle de Camavinga, est distincte de l'action de la touche sauvée par Bernardo.
Il affirme que les images qui comptent sont celles de la VAR et non celles diffusées à la télévision. Il explique que même si le ballon était sorti d'un mètre, cela ne change pas le fait que Camavinga a récupéré le ballon et que l'action s'est poursuivie jusqu'au but.
Selon le règlement, il s'agit d'une deuxième action distincte, ce qui exclut l'intervention de la VAR. Iturralde Gonzalez critique également la précision des images diffusées par les diffuseurs télévisés, affirmant qu'elles sont trop inexactes.
Il souligne que la VAR n'a pas de caméra fixe sur les lignes de touche, et il doute qu'une télévision en ait une non plus. Il conclut en déclarant qu'il ne faut pas tromper les gens et que si le Real Madrid avait récupéré le ballon et marqué un but, alors la VAR aurait dû intervenir.
Il affirme que les images qui comptent sont celles de la VAR et non celles diffusées à la télévision. Il explique que même si le ballon était sorti d'un mètre, cela ne change pas le fait que Camavinga a récupéré le ballon et que l'action s'est poursuivie jusqu'au but.
Selon le règlement, il s'agit d'une deuxième action distincte, ce qui exclut l'intervention de la VAR. Iturralde Gonzalez critique également la précision des images diffusées par les diffuseurs télévisés, affirmant qu'elles sont trop inexactes.
Il souligne que la VAR n'a pas de caméra fixe sur les lignes de touche, et il doute qu'une télévision en ait une non plus. Il conclut en déclarant qu'il ne faut pas tromper les gens et que si le Real Madrid avait récupéré le ballon et marqué un but, alors la VAR aurait dû intervenir.