Parce que l'on paie les musiciens à la fin du bal et que si les Sang-et-Or se ratent désormais pour la Ligue Europa contre le FC Séville, que restera-t-il de son épopée cette saison en C1 ?
Pas grand chose pour le monde du foot européen, même si bien entendu les fans lensois n'oublieront jamais les émotions de la phase aller. Sauf que de ce parcours, on risque surtout de retenir l'immense raclée à Arsenal ce mercredi (6-0). C'est comme ça.
Logique au vu du scénario car si le match aller restera dans l'histoire du club, le score du retour restera la pire défaite pour un club français.
Quatre buts encaissés en 14 minutes dans une défense passoire, c'est ce qui risque de rester puisque le succès à Bollaert avait, paraît-il, quelque peu traversé les frontières hexagonales. Après les deux premières journées de qualité, entrevoir le top 16 avait du sens.
Comment avancer après coup ? En se stabilisant à long-terme dans le haut du tableau et en jouant régulièrement la Coupe d'Europe. Dans l'immédiat, se remettre de cette déroute en poursuivant la remontée au classement en Ligue 1.
Ensuite il ne faudra pas perdre contre un FC Séville, dont les résultats en C1 lorsque le club andalou y est engagé, n'ont strictement rien à voir avec ceux en C3.
Ainsi, le RCL aura de nouvelles chances de briller en Europe avec la C3 et poursuivre une certaine continuité. Et accessoirement, l'Europe n'oubliera pas les belles prestations du début de parcours.
Elle oubliera vite si les exploits ne se répètent pas. Les fans lensois, à priori non puisque Jonathan Gradit disait encore avant Lens-PSV (3e journée) que "le match d'Arsenal, aujourd'hui, tout le monde en parle encore dans la rue". Ils risquent néanmoins d'être plus loquaces sur le 6-0 si les émotions en restent là...
Pas grand chose pour le monde du foot européen, même si bien entendu les fans lensois n'oublieront jamais les émotions de la phase aller. Sauf que de ce parcours, on risque surtout de retenir l'immense raclée à Arsenal ce mercredi (6-0). C'est comme ça.
Logique au vu du scénario car si le match aller restera dans l'histoire du club, le score du retour restera la pire défaite pour un club français.
Quatre buts encaissés en 14 minutes dans une défense passoire, c'est ce qui risque de rester puisque le succès à Bollaert avait, paraît-il, quelque peu traversé les frontières hexagonales. Après les deux premières journées de qualité, entrevoir le top 16 avait du sens.
Comment avancer après coup ? En se stabilisant à long-terme dans le haut du tableau et en jouant régulièrement la Coupe d'Europe. Dans l'immédiat, se remettre de cette déroute en poursuivant la remontée au classement en Ligue 1.
Ensuite il ne faudra pas perdre contre un FC Séville, dont les résultats en C1 lorsque le club andalou y est engagé, n'ont strictement rien à voir avec ceux en C3.
Ainsi, le RCL aura de nouvelles chances de briller en Europe avec la C3 et poursuivre une certaine continuité. Et accessoirement, l'Europe n'oubliera pas les belles prestations du début de parcours.
Elle oubliera vite si les exploits ne se répètent pas. Les fans lensois, à priori non puisque Jonathan Gradit disait encore avant Lens-PSV (3e journée) que "le match d'Arsenal, aujourd'hui, tout le monde en parle encore dans la rue". Ils risquent néanmoins d'être plus loquaces sur le 6-0 si les émotions en restent là...