Auteur d'un très bon début de saison avec le RC Lens en Ligue 1 (un but et trois passes décisives en cinq matchs), Jonathan Clauss (28 ans) a été interrogé au sujet de l'Equipe de France, dans un entretien accordé au site officiel de la Ligue 1 :
"De nombreux journalistes en parlent, j'ai des belles stats, mais je ne pense pas être légitime pour parler de ça. Avant, personne n'en parlait. Puis maintenant, on m'en parle de temps en temps. Je ne joue pas pour être appelé en Equipe de France, je pense surtout à prendre du plaisir avant toutes choses. Si un jour, j'ai le bonheur d'être appelé chez les Bleus, ce sera la cerise sur le gâteau. Vous savez, il y a quelques années, je ne m'imaginais même pas dans un club comme le RC Lens, en Ligue 1, alors je ne vais pas crier sur tous les toits 'Oh Didier Deschamps, quand est-ce que tu m'appelles en Equipe de France ?', je ne me permettrai jamais. En revanche, quand je regarde mes performances et que je vois que les Bleus jouent parfois à trois derrière avec des pistons, je me dis que je peux avoir une chance d'y être. Je suis obligé de dire ça, sinon cela signifierait que je n'ai pas envie ou que je ne me fixe pas d'objectifs. Maintenant, ce n'est pas moi qui fais les listes, ni les journalistes, ni les supporters. Mais plus on m'en parle, plus je me dis 'pourquoi pas'", a confié Jonathan Clauss, l'excellent piston droit du Racing Club de Lens.
"De nombreux journalistes en parlent, j'ai des belles stats, mais je ne pense pas être légitime pour parler de ça. Avant, personne n'en parlait. Puis maintenant, on m'en parle de temps en temps. Je ne joue pas pour être appelé en Equipe de France, je pense surtout à prendre du plaisir avant toutes choses. Si un jour, j'ai le bonheur d'être appelé chez les Bleus, ce sera la cerise sur le gâteau. Vous savez, il y a quelques années, je ne m'imaginais même pas dans un club comme le RC Lens, en Ligue 1, alors je ne vais pas crier sur tous les toits 'Oh Didier Deschamps, quand est-ce que tu m'appelles en Equipe de France ?', je ne me permettrai jamais. En revanche, quand je regarde mes performances et que je vois que les Bleus jouent parfois à trois derrière avec des pistons, je me dis que je peux avoir une chance d'y être. Je suis obligé de dire ça, sinon cela signifierait que je n'ai pas envie ou que je ne me fixe pas d'objectifs. Maintenant, ce n'est pas moi qui fais les listes, ni les journalistes, ni les supporters. Mais plus on m'en parle, plus je me dis 'pourquoi pas'", a confié Jonathan Clauss, l'excellent piston droit du Racing Club de Lens.