Eliminé par le Panathinaïkos en barrages de Ligue Conférence, le RC Lens doit se contenter cette saison de la Ligue 1 et de la Coupe de France. Une déception pour le club et les supporters lensois, même si cette situation n'a pas que des côtés négatifs. En effet, ce calendrier "allégé" va permettre de moins puiser dans les organismes.
Un calendrier qui est régulièrement pointé du doigt par les footballeurs professionnels. Dans un entretien accordé au média polonais Interia Sport, Przemyslaw Frankowski a pointé du doigt le rythme effréné auquel les footballeurs évoluant au haut niveau sont confrontés. Un cadence infernale qui n'est pas sans conséquence sur le plan physique et mental.
"Ce sont des voyages constants, des nuits blanches, vivre avec des valises, se déplacer presque uniquement entre l’aéroport et l’hôtel. La routine de récupération est également plutôt ennuyeuse et peu attrayante. C’est un beau métier, mais il demande des sacrifices et nécessite un style de vie dont le rythme ne conviendrait sans doute pas à tout le monde. À chaque saison, il arrive un moment où il y a tellement de matches que l’on s’épuise mentalement. Physiquement aussi, bien sûr, mais surtout, c’est la tête qui est lavée. Je rentre à la maison et je ne veux pas regarder de football à la télé. Même si c’était entre Barcelone et le Real Madrid, j’y renoncerais quand même", a t'il confié.
Un calendrier qui est régulièrement pointé du doigt par les footballeurs professionnels. Dans un entretien accordé au média polonais Interia Sport, Przemyslaw Frankowski a pointé du doigt le rythme effréné auquel les footballeurs évoluant au haut niveau sont confrontés. Un cadence infernale qui n'est pas sans conséquence sur le plan physique et mental.
"Ce sont des voyages constants, des nuits blanches, vivre avec des valises, se déplacer presque uniquement entre l’aéroport et l’hôtel. La routine de récupération est également plutôt ennuyeuse et peu attrayante. C’est un beau métier, mais il demande des sacrifices et nécessite un style de vie dont le rythme ne conviendrait sans doute pas à tout le monde. À chaque saison, il arrive un moment où il y a tellement de matches que l’on s’épuise mentalement. Physiquement aussi, bien sûr, mais surtout, c’est la tête qui est lavée. Je rentre à la maison et je ne veux pas regarder de football à la télé. Même si c’était entre Barcelone et le Real Madrid, j’y renoncerais quand même", a t'il confié.
