Arrivé en 2013 à l'Olympique de Marseille - une aventure entrecoupée par 18 mois à West Ham - Dimitri Payet est au crépuscule de sa carrière. Une carrière bien remplie pour le milieu offensif de 35 ans aux 632 matchs en pro.
Dans un long entretien accordé à Brut, Dimitri Payet est revenu sur cette saison riche en événements positifs comme négatifs à l'OM : un club marseillais qui a une saveur particulière par rapport à ses anciens clubs que sont le FC Nantes, l'AS Saint-Etienne et le LOSC.
“Je pense que j’ai fait, on va dire, quasiment tous les plus grands clubs en France avec Nantes, Lille, Saint-Étienne. Mais quand on a connu ici, c’est compliqué d’aller ailleurs. Je l’ai fait, mais il y a quelque chose ici qui m’attire, c’est d’être sans cesse sous pression, sans cesse attendu, et on ne peut pas se reposer sur ce qu’on a déjà fait ou sur le match d’avant." a t'il déclaré avant de poursuivre.
"On peut faire six mois au top niveau, rater deux matchs et on vous tombe dessus, donc ça pousse à travailler, à travailler dur. Et surtout, c’est aussi le fait de jouer dans ce stade-là. Et moi j’ai toujours dit que je jouais au foot pour être dans ce genre de stade. Je dis souvent aux nouveaux arrivent, que c’est que, quand ça va bien, c’est facile de jouer ici, parce que tout va bien. Mais, par contre, quand on joue là-dedans et que ça siffle, ce n’est pas la même sauce et il ne faut pas se cacher, donc Marseille peut vous sublimer comme Marseille peut vous éteindre. Et on l’a vu avec de très grands joueurs qui sont passés ici mais qui n’ont pas réussi à supporter cette pression quotidienne.”
Dans un long entretien accordé à Brut, Dimitri Payet est revenu sur cette saison riche en événements positifs comme négatifs à l'OM : un club marseillais qui a une saveur particulière par rapport à ses anciens clubs que sont le FC Nantes, l'AS Saint-Etienne et le LOSC.
“Je pense que j’ai fait, on va dire, quasiment tous les plus grands clubs en France avec Nantes, Lille, Saint-Étienne. Mais quand on a connu ici, c’est compliqué d’aller ailleurs. Je l’ai fait, mais il y a quelque chose ici qui m’attire, c’est d’être sans cesse sous pression, sans cesse attendu, et on ne peut pas se reposer sur ce qu’on a déjà fait ou sur le match d’avant." a t'il déclaré avant de poursuivre.
"On peut faire six mois au top niveau, rater deux matchs et on vous tombe dessus, donc ça pousse à travailler, à travailler dur. Et surtout, c’est aussi le fait de jouer dans ce stade-là. Et moi j’ai toujours dit que je jouais au foot pour être dans ce genre de stade. Je dis souvent aux nouveaux arrivent, que c’est que, quand ça va bien, c’est facile de jouer ici, parce que tout va bien. Mais, par contre, quand on joue là-dedans et que ça siffle, ce n’est pas la même sauce et il ne faut pas se cacher, donc Marseille peut vous sublimer comme Marseille peut vous éteindre. Et on l’a vu avec de très grands joueurs qui sont passés ici mais qui n’ont pas réussi à supporter cette pression quotidienne.”
