Thiago Silva n'a toujours pas digéré son départ du PSG...
Laissé libre par le PSG lors du dernier Mercato estival, peu après la finale de Ligue des Champions perdue par le Paris SG face au Bayern Munich, Thiago Silva s'était finalement engagé en faveur de Chelsea du côté de la Premier League.
Avec 2 buts inscrits en 17 matchs de Premier League avec Chelsea cette saison, Thiago Silva (36 ans), qui travaille désormais sous les ordres de Thomas Tuchel (ex PSG), est revenu sur son départ du club parisien présidé par Nasser Al-Khelaïfi, et le défenseur central de l'équipe nationale du Brésil (89 sélections / 7 buts) n'a visiblement toujours pas digéré la façon dont il a quitté le Paris Saint-Germain :
"Non, le PSG ne m'avait rien offert. C'est très énervant, mais il y a pire comme situation... Durant la pandémie, ils avaient eu trois mois pour préparer mes adieux, mais rien n'a été fait. Je suis resté huit ans au club, j'ai été le capitaine et j'ai soulevé de nombreux trophées avec le Paris Saint-Germain. Je méritais beaucoup plus de respect. Pareil pour Edinson Cavani !" a confié Thiago Silva (ex Paris SG), dans un entretien accordé à Four Four Two.
Et on peut le comprendre...
Avec 2 buts inscrits en 17 matchs de Premier League avec Chelsea cette saison, Thiago Silva (36 ans), qui travaille désormais sous les ordres de Thomas Tuchel (ex PSG), est revenu sur son départ du club parisien présidé par Nasser Al-Khelaïfi, et le défenseur central de l'équipe nationale du Brésil (89 sélections / 7 buts) n'a visiblement toujours pas digéré la façon dont il a quitté le Paris Saint-Germain :
"Non, le PSG ne m'avait rien offert. C'est très énervant, mais il y a pire comme situation... Durant la pandémie, ils avaient eu trois mois pour préparer mes adieux, mais rien n'a été fait. Je suis resté huit ans au club, j'ai été le capitaine et j'ai soulevé de nombreux trophées avec le Paris Saint-Germain. Je méritais beaucoup plus de respect. Pareil pour Edinson Cavani !" a confié Thiago Silva (ex Paris SG), dans un entretien accordé à Four Four Two.
Et on peut le comprendre...