Javier Tebas accuse le PSG de tricheries dans le cadre du fair-play financier
Sans conteste le plus grand détracteur du PSG, le président de la Liga, Javier Tebas, ne cesse de critiquer ouvertement le Paris SG. En effet, le dirigeant du football espagnol estime que le club parisien représente un grand danger pour le football européen en raison de la concurrence déloyale sur le plan financier. Des critiques de plus en plus violentes au fil des mois.
Ce jeudi encore, dans les colonnes de L'Équipe, Javier Tebas est même allé plus loin en affirmant avoir les preuve de tricheries du PSG de Nasser al-Khélaïfi, dans le cadre du fair-play financier et sous couvert de la LFP.
"Comment le PSG peut nous expliquer qu’il a un effectif d’une valeur de quasiment 600 M€ ? S’il gagne la Ligue 1, il ne va pas gagner plus de 45 M€… C’est impossible. (...) Je peux montrer, chiffres à l’appui, les tricheries vis-à-vis du fair-play financier, qui n’a pas encore été changé. Avant Messi, le PSG avait un sponsoring 40% plus important que celui de Manchester United… Il y a une valeur de marché… (...) J’ai invité le président du PSG et celui de la Ligue française pour leur montrer les chiffres que nous avons et où sont les irrégularités. Ils ne m’ont pas répondu. Ils sont rapides pour me critiquer, pas pour me répondre", a déclaré Tebas.
Ce jeudi encore, dans les colonnes de L'Équipe, Javier Tebas est même allé plus loin en affirmant avoir les preuve de tricheries du PSG de Nasser al-Khélaïfi, dans le cadre du fair-play financier et sous couvert de la LFP.
"Comment le PSG peut nous expliquer qu’il a un effectif d’une valeur de quasiment 600 M€ ? S’il gagne la Ligue 1, il ne va pas gagner plus de 45 M€… C’est impossible. (...) Je peux montrer, chiffres à l’appui, les tricheries vis-à-vis du fair-play financier, qui n’a pas encore été changé. Avant Messi, le PSG avait un sponsoring 40% plus important que celui de Manchester United… Il y a une valeur de marché… (...) J’ai invité le président du PSG et celui de la Ligue française pour leur montrer les chiffres que nous avons et où sont les irrégularités. Ils ne m’ont pas répondu. Ils sont rapides pour me critiquer, pas pour me répondre", a déclaré Tebas.