Angel Di Maria est toujours choqué par le fait qu'un agent soit rentré sur la pelouse avec une arme
Le 5 septembre dernier, une rencontre entre le Brésil et l'Argentine devait avoir lieu. Mais dès la 5ème minute de jeu, des officiers sont entrés sur le terrain afin de suspendre définitivement cette rencontre qui comptait pour les éliminatoires de la prochaine Coupe du Monde.
Les autorités sanitaires brésiliennes avaient dénoncé quatre joueurs argentins (Martinez, Buendia, Lo Celso et Romero) pour avoir pénétré sur le territoire alors qu'ils n'avaient pas respecté la bulle sanitaire. Ces joueurs jouent en Premier League, et les autorités brésiliennes ont classé l'Angleterre comme zone rouge en raison du variant anglais.
Les autorités sanitaires brésiliennes avaient dénoncé quatre joueurs argentins (Martinez, Buendia, Lo Celso et Romero) pour avoir pénétré sur le territoire alors qu'ils n'avaient pas respecté la bulle sanitaire. Ces joueurs jouent en Premier League, et les autorités brésiliennes ont classé l'Angleterre comme zone rouge en raison du variant anglais.
Dans un entretien accordé à ESPN, Le joueur du PSG, Angel Di Maria, a évoqué ce match. Notamment le fait qu'une personne entrée sur le terrain avait une arme en sa possession.
"Nous nous sommes ridiculisés devant tout le monde. Lorsque l'on est rentré en Europe, tout le monde a dit que ce match était une honte. Attendre que le match commence pour l'arrêter de cette façon, que la personne qui entre ait une arme, qui se pousse avec les joueurs... Cette situation est un peu plus politique de leur côté que du nôtre" a-t-il dit avant de conclure. "Nous y sommes restés trois jours, personne n'est venu à l'hôtel, tout était étrange".
Cette rencontre va devoir être rejouée afin de départager les deux sélections qui occupent les deux premières places de la zone Amérique du sud.
"Nous nous sommes ridiculisés devant tout le monde. Lorsque l'on est rentré en Europe, tout le monde a dit que ce match était une honte. Attendre que le match commence pour l'arrêter de cette façon, que la personne qui entre ait une arme, qui se pousse avec les joueurs... Cette situation est un peu plus politique de leur côté que du nôtre" a-t-il dit avant de conclure. "Nous y sommes restés trois jours, personne n'est venu à l'hôtel, tout était étrange".
Cette rencontre va devoir être rejouée afin de départager les deux sélections qui occupent les deux premières places de la zone Amérique du sud.