Ce jeudi, l'Olympique de Marseille va effectuer un périlleux déplacement à Salonique pour y affronter le PAOK, pour le compte des quarts de finale retour de la Ligue Europa Conférence. Une rencontre qui s'annonce bouillante et surtout très tendue après un match aller qui s'est déroulé dans une atmosphère électrique.
Au delà du contexte particulier qui attend l'OM, les hommes de Jorge Sampaoli vont devoir se méfier de cette équipe grecque qui n'est pas la favorite sur le papier, mais qui est revenue de Marseille avec un seul but de retard. Une équipe entraînée par Razvan Lucescu, fils de Mircea Lucescu, un entraîneur reconnu en Europe et qui a notamment fait les belles heures du Chakhtar Donetsk.
Mais Razvan Lucescu n'est pas que le "fils de", c'est également un entraîneur qui commence à se faire un "prénom", comme a tenu à le souligner Bafétimbi Gomis.
"Razvan m'a donné beaucoup d'amour quand j'en avais besoin. Il a une belle philosophie de jeu, il s'inspire de Guardiola, mixe cela avec des préceptes de l'école italienne. Il n'est pas venu à Al-Hilal pour gagner de l'argent, mais la Ligue des champions d'Asie, la première depuis vingt ans. Dès le premier entraînement, il a commencé à travailler la relance de derrière, à nous gaver de vidéos, à être hyper exigeant sur le terrain. Cela a payé. On a gagné la C1. Quand il est parti, il a pleuré, les joueurs aussi", a déclaré l'ex attaquant de l'OM à L'Equipe.
Au delà du contexte particulier qui attend l'OM, les hommes de Jorge Sampaoli vont devoir se méfier de cette équipe grecque qui n'est pas la favorite sur le papier, mais qui est revenue de Marseille avec un seul but de retard. Une équipe entraînée par Razvan Lucescu, fils de Mircea Lucescu, un entraîneur reconnu en Europe et qui a notamment fait les belles heures du Chakhtar Donetsk.
Mais Razvan Lucescu n'est pas que le "fils de", c'est également un entraîneur qui commence à se faire un "prénom", comme a tenu à le souligner Bafétimbi Gomis.
"Razvan m'a donné beaucoup d'amour quand j'en avais besoin. Il a une belle philosophie de jeu, il s'inspire de Guardiola, mixe cela avec des préceptes de l'école italienne. Il n'est pas venu à Al-Hilal pour gagner de l'argent, mais la Ligue des champions d'Asie, la première depuis vingt ans. Dès le premier entraînement, il a commencé à travailler la relance de derrière, à nous gaver de vidéos, à être hyper exigeant sur le terrain. Cela a payé. On a gagné la C1. Quand il est parti, il a pleuré, les joueurs aussi", a déclaré l'ex attaquant de l'OM à L'Equipe.
