Cinquième de Ligue 1 la saison dernière, l' Olympique de Marseille a vécu un dernier exercice compliqué sous les ordres de Rudi Garcia. Si pour l'heure André Villas-Boas ne fait guère mieux que son prédécesseur, les mentalités auraient toutefois évoluées au sein du vestiaire.
Le vestiaire de l' OM à l'écoute de Villas-Boas
Lors d'un entretien accordé à Radio Maritima, Morgan Sanson a livré un constat accablant concernant Rudi Garcia. En effet le milieu de terrain de l' Olympique de Marseille, a confié que l'ex coach de l' OM avait été lâché par une partie du vestiaire.
"Sincèrement par rapport à la saison passée, il y a tout le groupe qui est derrière le coach. Tous les joueurs sont derrière lui, c'est ça la différence, et c'est une grosse différence" a déclaré Sanson.
Un discours tenu par de nombreux joueurs marseillais lorsque Rudi Garcia avait été nommé entraîneur de l' OM le 20 octobre 2016 ... Pour rappel, Jacques-Henri Eyraud s'était également montré dithyrambique à l'égard de Garcia.
"Son bilan sportif sur les cinq dernières années est exceptionnel. Il est l'un des rares entraîneurs français à avoir réussi à l'étranger dans un des championnats majeurs" avait déclaré JHE .
La critique est facile et logique après coup. Mais la comparaison avec André Villas-Boas est prématurée. Etre lâché par son vestiaire, c'est le lot de nombreux entraîneurs en fin de cycle.
"Sincèrement par rapport à la saison passée, il y a tout le groupe qui est derrière le coach. Tous les joueurs sont derrière lui, c'est ça la différence, et c'est une grosse différence" a déclaré Sanson.
Un discours tenu par de nombreux joueurs marseillais lorsque Rudi Garcia avait été nommé entraîneur de l' OM le 20 octobre 2016 ... Pour rappel, Jacques-Henri Eyraud s'était également montré dithyrambique à l'égard de Garcia.
"Son bilan sportif sur les cinq dernières années est exceptionnel. Il est l'un des rares entraîneurs français à avoir réussi à l'étranger dans un des championnats majeurs" avait déclaré JHE .
La critique est facile et logique après coup. Mais la comparaison avec André Villas-Boas est prématurée. Etre lâché par son vestiaire, c'est le lot de nombreux entraîneurs en fin de cycle.