Arrivé l'été dernier à l'Olympique de Marseille, Valère Germain aurait pu rejoindre bien avant son club de cœur. En effet dans une interview accordée au site de l’OM, l'attaquant de 28 ans a confié qu'en 2004 le club phocéen sur demande José Anigo voulait le recruter. Chose qui ne fut pas possible puisque Germain avait déjà donné son accord à l'AS Monaco.
« Après l’USO, je rejoins le centre de préformation de Châteauroux, j’y reste une année. Au bout de six mois, je m’engage avec l’AS Monaco que nous avions choisi pour ses résultats avec les jeunes. Quelques temps après, j’apprends que l’OM était intéressé. Mon club me voulait. La haine. En fait, au printemps, je dispute avec Châteauroux la Coupe nationale des U14 sous le regard de mon père, présent comme beaucoup de parents et de… José Anigo. Ce jour-là, José Anigo donc, qui était directeur sportif à ce moment-là, apprécie mon profil et mes qualités et souhaite que je vienne à Marseille. Il en parle avec mon père qui lui dit que, malheureusement, je venais de signer en Principauté. Papa, qui est plutôt discret et qui se tenait en retrait de mon parcours, lui confie que, par respect, ce n’était pas à lui à faire le premier pas. Malencontreusement pour moi. Quand j’ai appris ça, j’étais très déçu car j’aurais pu porter le maillot de mon club, même si je connaissais la réputation du centre de formation de Monaco. Dommage. Je peux avouer aujourd’hui que si cette opportunité s’était présentée en même temps, j’aurais sans doute privilégié le choix du cœur ». a confié Germain.
« Après l’USO, je rejoins le centre de préformation de Châteauroux, j’y reste une année. Au bout de six mois, je m’engage avec l’AS Monaco que nous avions choisi pour ses résultats avec les jeunes. Quelques temps après, j’apprends que l’OM était intéressé. Mon club me voulait. La haine. En fait, au printemps, je dispute avec Châteauroux la Coupe nationale des U14 sous le regard de mon père, présent comme beaucoup de parents et de… José Anigo. Ce jour-là, José Anigo donc, qui était directeur sportif à ce moment-là, apprécie mon profil et mes qualités et souhaite que je vienne à Marseille. Il en parle avec mon père qui lui dit que, malheureusement, je venais de signer en Principauté. Papa, qui est plutôt discret et qui se tenait en retrait de mon parcours, lui confie que, par respect, ce n’était pas à lui à faire le premier pas. Malencontreusement pour moi. Quand j’ai appris ça, j’étais très déçu car j’aurais pu porter le maillot de mon club, même si je connaissais la réputation du centre de formation de Monaco. Dommage. Je peux avouer aujourd’hui que si cette opportunité s’était présentée en même temps, j’aurais sans doute privilégié le choix du cœur ». a confié Germain.