Cinq victoires de rang pour l'Olympique de Marseille en Ligue 1. Malgré l'accroc en Ligue des Champions face à Tottenham, l'OM est sur une très bonne dynamique. Et pourtant peu y croyaient après le départ de Jorge Sampaoli et une présaison loin d'être rassurante. Mais le nouvel entraîneur du club phocéen, Igor Tudor, critiqué avant même qu'il ne débarque à Marseille, est resté droit dans ses bottes, et a réussi à imposer sa philosophie de jeu.
Le résultat est là, l'OM qui vient de s'imposer face au LOSC (2-1) pour le compte de la 7e journée de Ligue 1, est actuellement leader du championnat en compagnie du PSG avec 19 points sur 21 possibles.
Le résultat est là, l'OM qui vient de s'imposer face au LOSC (2-1) pour le compte de la 7e journée de Ligue 1, est actuellement leader du championnat en compagnie du PSG avec 19 points sur 21 possibles.
Tudor, une vraie identité de jeu
Au delà de ces très bons résultats, Igor Tudor a réussi à construire une base solide (meilleur défense avec le PSG) et est surtout capable de s'adapter très rapidement lorsqu'il sent que cela peut rapidement tourner au vinaigre. Un point fort rapport à un Jorge Sampaoli qui était parfois déroutant dans ses choix.
Tudor explique pourquoi il a rapidement sorti Balerdi
Preuve en est, lors de la victoire de Marseille face à Lille, le technicien croate n'a pas hésité à sortir Leonardo Balerdi dès la 28e minute. Une sanction ? Non, un principe de précaution que Tudor a parfaitement expliqué tout en restant bienveillant avec son joueur.
" J’ai dû faire quelque chose que je n’aime pas faire et je m’en excuse. Ce n’est pas parce qu’il a mal joué, mais j’avais l’impression que l’arbitre avait le carton facile et je trouvais que Leo risquait de prendre un second avertissement. Je n’ai pas aimé le fait qu’il soit sifflé, ce n’est pas beau de siffler ses propres joueurs. Surtout lui, c’est un bon gars. Il donne toujours le maximum. " a confié Tudor devant la presse.
Rigueur, autorité, idées claires, bienveillance, un cocktail bien dosé qui permet pour l'heure à Igor Tudor de fermer pas mal de bouches, dont la notre. Pourvu que cela dure ...
" J’ai dû faire quelque chose que je n’aime pas faire et je m’en excuse. Ce n’est pas parce qu’il a mal joué, mais j’avais l’impression que l’arbitre avait le carton facile et je trouvais que Leo risquait de prendre un second avertissement. Je n’ai pas aimé le fait qu’il soit sifflé, ce n’est pas beau de siffler ses propres joueurs. Surtout lui, c’est un bon gars. Il donne toujours le maximum. " a confié Tudor devant la presse.
Rigueur, autorité, idées claires, bienveillance, un cocktail bien dosé qui permet pour l'heure à Igor Tudor de fermer pas mal de bouches, dont la notre. Pourvu que cela dure ...