Décidément, le fameux Ali Zarrak provoque des tensions à l'Olympique de Marseille. En conflit avec Chancel Mbemba, le responsable de la Pro 2 n'est guère apprécié de Jean-Pierre Papin, et le mot et faible. En conflit ouvert avec Zarrak, l'entraîneur de l'équipe réserve de l'OM n'a pas mâché ses mots pour pointer du doigt et faire part de son ras le bol au sujet du comportement et de l'ingérence au quotidien de Ali Zarrak.
"Moi, j'ai un problème avec une certaine personne et je ne m'en cache pas. Je suis coach et je ne peux pas accepter que cette personne-là choisisse mes remplaçants. A un moment, ça clash. Tout est cloisonné. La Pro 1 ne peut pas venir en Pro 2 sans passer par cette personne, et moi je ne peux pas aller voir la Pro 1 sans passer par lui. Excusez-moi, mais je ne dois avoir besoin de personne pour aller voir un entraîneur. (...) Ça ne peut plus durer. Je ne peux pas vivre comme ça toute ma vie." a t'il confié à La Provence avant d'évoquer son avenir.
"C’est dans cet esprit qu’il faut voir les choses. Moi j’aimerais finir ma saison, on a construit un truc magnifique avec les gamins. (...) J’ai l’impression qu’on essaie de foutre ça en l’air et c’est difficile à gérer. (...) Au fond de tout ça, le problème n’est qu’une histoire d’hommes. Ça ne va pas plus loin."
"Moi, j'ai un problème avec une certaine personne et je ne m'en cache pas. Je suis coach et je ne peux pas accepter que cette personne-là choisisse mes remplaçants. A un moment, ça clash. Tout est cloisonné. La Pro 1 ne peut pas venir en Pro 2 sans passer par cette personne, et moi je ne peux pas aller voir la Pro 1 sans passer par lui. Excusez-moi, mais je ne dois avoir besoin de personne pour aller voir un entraîneur. (...) Ça ne peut plus durer. Je ne peux pas vivre comme ça toute ma vie." a t'il confié à La Provence avant d'évoquer son avenir.
"C’est dans cet esprit qu’il faut voir les choses. Moi j’aimerais finir ma saison, on a construit un truc magnifique avec les gamins. (...) J’ai l’impression qu’on essaie de foutre ça en l’air et c’est difficile à gérer. (...) Au fond de tout ça, le problème n’est qu’une histoire d’hommes. Ça ne va pas plus loin."