Mehdi Benatia n’a jamais caché son attachement à l’Olympique de Marseille, le club qui l’a formé. Mais aujourd’hui, c’est avant tout la fidélité à Pablo Longoria qui guide son engagement. " Indépendamment de mon amour pour l’OM, je suis venu pour Pablo. Le jour où Pablo part, je m’en vais. C’est clair." a t'il confié à La Provence.
Avec cette déclaration sans détour, Benatia pose les bases de son rôle : il n’est pas là pour durer coûte que coûte, mais pour accompagner un projet, un homme, et une vision partagée. Cette alliance, forgée dans la tempête d’une saison agitée, a permis à l’OM de garder le cap malgré les crises internes et les remous du championnat.
Dans les coulisses de la Commanderie, Benatia ne fait pas dans la demi-mesure. " Je ne suis lié à rien ni à personne (…) Je répète toujours aux joueurs, au staff et aux salariés que je ne suis pas là pour me faire des amis… Je ne veux que des gens qui travaillent dur pour l’OM. " Son message est limpide : l’exigence de travail prime sur tout le reste. Cette mentalité, héritée de ses années au plus haut niveau, il la transmet désormais à tous les étages du club, du centre de formation à l’équipe première. Résultat : les joueurs savent à quoi s’en tenir, et l’institution retrouve une colonne vertébrale, même dans la tempête.
Mais dans ce discours sans filtre, on peut y voir un sacré coup de pression mis au propriétaire de l'Olympique de Marseille : Frank McCourt. En effet, si Pablo Longoria s'en va, Mehdi Benatia pliera bagages.
Des propos anodins ? Il n'y a jamais rien d'anodin avec Benatia. Longoria serait-il menacé ?
Avec cette déclaration sans détour, Benatia pose les bases de son rôle : il n’est pas là pour durer coûte que coûte, mais pour accompagner un projet, un homme, et une vision partagée. Cette alliance, forgée dans la tempête d’une saison agitée, a permis à l’OM de garder le cap malgré les crises internes et les remous du championnat.
Dans les coulisses de la Commanderie, Benatia ne fait pas dans la demi-mesure. " Je ne suis lié à rien ni à personne (…) Je répète toujours aux joueurs, au staff et aux salariés que je ne suis pas là pour me faire des amis… Je ne veux que des gens qui travaillent dur pour l’OM. " Son message est limpide : l’exigence de travail prime sur tout le reste. Cette mentalité, héritée de ses années au plus haut niveau, il la transmet désormais à tous les étages du club, du centre de formation à l’équipe première. Résultat : les joueurs savent à quoi s’en tenir, et l’institution retrouve une colonne vertébrale, même dans la tempête.
Mais dans ce discours sans filtre, on peut y voir un sacré coup de pression mis au propriétaire de l'Olympique de Marseille : Frank McCourt. En effet, si Pablo Longoria s'en va, Mehdi Benatia pliera bagages.
Des propos anodins ? Il n'y a jamais rien d'anodin avec Benatia. Longoria serait-il menacé ?
