Rudi Garcia inquiet par l'absence de révolte de son groupe
Passablement irrité par la prestation livrée par ses joueurs face au FC Nantes (défaite 1-2), Rudi Garcia a enfin ouvert les yeux sur le manque d'implication de ses hommes. En effet si le coach de l'Olympique de Marseille a pointé du doigt le manque de réalisme offensif, il a surtout critiqué l'absence de révolte de son groupe.
« C'est une très mauvaise opération mathématique, c'est de notre faute. On fait une erreur sur le premier but, on a des opportunités, mais en deuxième période, c'est trop peu. On a tiré 17 fois, on a cadré deux fois, comment voulez-vous gagner un match de Ligue 1 à domicile ? Impossible. (...) J'aurais aimé aussi plus de rébellion après le 2-1, on avait encore le temps d'égaliser. C'est ce qui m'ennuie le plus, c'est ce que je dirai aux joueurs. On a juste à gagner vendredi pour essayer de réduire l'écart avec ceux qui sont devant. À l'extérieur, on prend des wagons de buts. On a trop de défaites, si on avait transformé la moitié de ces défaites en nuls, on serait dans la course. Mais quand vous jouez la 34e journée, les chiffres sont éloquents, on ne défend pas suffisamment bien. » a déclaré Garcia dans des propos relayés par l'AFP.
« C'est une très mauvaise opération mathématique, c'est de notre faute. On fait une erreur sur le premier but, on a des opportunités, mais en deuxième période, c'est trop peu. On a tiré 17 fois, on a cadré deux fois, comment voulez-vous gagner un match de Ligue 1 à domicile ? Impossible. (...) J'aurais aimé aussi plus de rébellion après le 2-1, on avait encore le temps d'égaliser. C'est ce qui m'ennuie le plus, c'est ce que je dirai aux joueurs. On a juste à gagner vendredi pour essayer de réduire l'écart avec ceux qui sont devant. À l'extérieur, on prend des wagons de buts. On a trop de défaites, si on avait transformé la moitié de ces défaites en nuls, on serait dans la course. Mais quand vous jouez la 34e journée, les chiffres sont éloquents, on ne défend pas suffisamment bien. » a déclaré Garcia dans des propos relayés par l'AFP.