Fervent défenseur de l'OM pour y avoir grandi et joué dans la plus grande équipe phocéenne de tous les temps, Eric Di Meco a résumé un sentiment sans doute partagé par de nombreux fans.
En fin de semaine dernière, le club a fêté dignement les 30 ans d'existence du sacre en Ligue des Champions 1993 à Marseille avec ses anciennes légendes. Une situation qui montre évidemment que les légendes et le passé ne sont pas oubliées.
Un peu trop peut-être car il témoigne aussi de l'incapacité de l'OM à avancer et réécrire de plus belles pages encore. Certes, le club a depuis disputé trois finales de C3 entre 1999 et 2018 et reste la formation française à avoir joué le plus de finales de Coupe d'Europe.
Mais l'ensemble en C1 est très insuffisant et Eric Di Meco, présent ce vendredi 26 mai, a donné son avis sur ces festivités pour le Phocéen.
En fin de semaine dernière, le club a fêté dignement les 30 ans d'existence du sacre en Ligue des Champions 1993 à Marseille avec ses anciennes légendes. Une situation qui montre évidemment que les légendes et le passé ne sont pas oubliées.
Un peu trop peut-être car il témoigne aussi de l'incapacité de l'OM à avancer et réécrire de plus belles pages encore. Certes, le club a depuis disputé trois finales de C3 entre 1999 et 2018 et reste la formation française à avoir joué le plus de finales de Coupe d'Europe.
Mais l'ensemble en C1 est très insuffisant et Eric Di Meco, présent ce vendredi 26 mai, a donné son avis sur ces festivités pour le Phocéen.
Des festivités qui prouvent que l'OM vit dans le passé sans parvenir à écrire le présent...
« L’intérêt de ce genre d’anniversaires, c’est de se retrouver. Parce quand on réfléchit un peu, fêter aussi fort ce titre-là 30 ans après, ça veut dire qu’il n’y a pas eu grand-chose entre, même si Didier Deschamps a gagné un titre de champion de France, ce n’est pas pareil qu’une campagne européenne ».
« Contre l’Atletico, en finale de la Ligue Europa, si l’OM avait enlevé cette victoire-là, ça aurait permis aux jeunes qui n’ont pas connu notre génération de pouvoir s’accaparer une épopée et de pouvoir aussi la transmettre et la fêter, c’est le côté un peu dommage dans tout ça. Peut-être que c’est la dernière fois qu’on le fête aussi fort », a expliqué Eric Di Meco avant de poursuivre par ailleurs.
Quand on est heureux d’être à la fête sauf qu'on commence à être un peu gênés parce qu’on nous ressort toujours cela depuis 30 ans... Quand on se réfère trop à l’histoire c’est qu’à un moment donné on a eu du mal à écrire les autres derrière.".
Il est vrai que les dernières participations de l'OM en C1 ont été foncièrement indignes du statut et de son passé européen. Du coup, le peuple olympien se console comme il peut...
« Contre l’Atletico, en finale de la Ligue Europa, si l’OM avait enlevé cette victoire-là, ça aurait permis aux jeunes qui n’ont pas connu notre génération de pouvoir s’accaparer une épopée et de pouvoir aussi la transmettre et la fêter, c’est le côté un peu dommage dans tout ça. Peut-être que c’est la dernière fois qu’on le fête aussi fort », a expliqué Eric Di Meco avant de poursuivre par ailleurs.
Quand on est heureux d’être à la fête sauf qu'on commence à être un peu gênés parce qu’on nous ressort toujours cela depuis 30 ans... Quand on se réfère trop à l’histoire c’est qu’à un moment donné on a eu du mal à écrire les autres derrière.".
Il est vrai que les dernières participations de l'OM en C1 ont été foncièrement indignes du statut et de son passé européen. Du coup, le peuple olympien se console comme il peut...