Quel bilan tirer de la première partie de saison ? Si sur le plan footballistique nous avons assisté à une première moitié de championnat très intéressante, cela a hélas été gâchée par de nombreux incidents en tribune. Et ce n'est pas l'Olympique de Marseille qui dira le contraire.
Montpellier - Marseille, Nice - Marseille, Angers - Marseille et plus récemment Lyon - Marseille. Quatre rencontres qui ont été émaillées par des débordements ou encore jets de projectiles.
Dans un entretien accordé au journaliste espagnol MisterChip, le défenseur de l'OM, Alvaro Gonzalez, a justement été interrogé sur cette violence qui a marqué la première partie de saison en Ligue 1. Peu habitué à manier la langue de bois, le défenseur espagnol a notamment pointé du doigt la LFP (sans la citer) pour son incapacité à gérer ce problème qui devient hélas récurrent.
"On ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac pour deux jets de bouteilles lancés par deux personnes, mais on peut juger une Fédération parce qu'il faut prendre des décisions pour que cela n'arrive plus. Il y a une photo de moi par exemple devant 300 ultras sur le terrain et finalement c'est moi qui ai été le plus durement sanctionné. On aurait dû prendre des décisions pour éviter ce qu'il s'est passé ensuite. Je dis toujours que nous sommes acteurs d'un magnifique sport donc on accepte les insultes, même entre joueurs, une fois que l'arbitre siffle la fin cela doit rester sur le terrain. Chacun défend ses intérêts sur le terrain. Si ça va plus loin, après un match, sur un corner, cela doit être plus durement sanctionné. Si ce n'est pas le cas et bien tu auras la même chose sur les 7 matchs suivants et on va parler de la France pour ses incidents plus qu'autre chose", a déclaré Alvaro Gonzalez.
Montpellier - Marseille, Nice - Marseille, Angers - Marseille et plus récemment Lyon - Marseille. Quatre rencontres qui ont été émaillées par des débordements ou encore jets de projectiles.
Dans un entretien accordé au journaliste espagnol MisterChip, le défenseur de l'OM, Alvaro Gonzalez, a justement été interrogé sur cette violence qui a marqué la première partie de saison en Ligue 1. Peu habitué à manier la langue de bois, le défenseur espagnol a notamment pointé du doigt la LFP (sans la citer) pour son incapacité à gérer ce problème qui devient hélas récurrent.
"On ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac pour deux jets de bouteilles lancés par deux personnes, mais on peut juger une Fédération parce qu'il faut prendre des décisions pour que cela n'arrive plus. Il y a une photo de moi par exemple devant 300 ultras sur le terrain et finalement c'est moi qui ai été le plus durement sanctionné. On aurait dû prendre des décisions pour éviter ce qu'il s'est passé ensuite. Je dis toujours que nous sommes acteurs d'un magnifique sport donc on accepte les insultes, même entre joueurs, une fois que l'arbitre siffle la fin cela doit rester sur le terrain. Chacun défend ses intérêts sur le terrain. Si ça va plus loin, après un match, sur un corner, cela doit être plus durement sanctionné. Si ce n'est pas le cas et bien tu auras la même chose sur les 7 matchs suivants et on va parler de la France pour ses incidents plus qu'autre chose", a déclaré Alvaro Gonzalez.