John Textor a été clair : l'Olympique Lyonnais a pour objectif de décrocher un ticket pour la Ligue des Champions à l'issue de la saison, et même une place sur le podium. Est-ce réalisable ? Si on se fie au début de saison des Gones, l'objectif ne sera pas facile à atteindre.
11ème de Ligue 1 au soir de la 6ème journée de championnat, l'OL compte pour l'heure 6 points de retard sur la 3ème place occupée par l'Olympique de Marseille. Rien de rédhibitoire, même si les hommes de Pierre Sage vont devoir élever le curseur, car le succès face à Toulouse, dimanche dernier, relève quasiment du miracle.
Pour l'heure, on est donc clairement loin du niveau de jeu affiché par l'Olympique Lyonnais lors de la deuxième partie de saison dernière. Comment expliquer cela ? La réponse est simple : le mercato d'été qui a chamboulé l'harmonie trouvée par Pierre Sage.
Un mercato qui, un mois après avoir fermé ses portes, continue à faire parler. Dans un entretien accordé à L'Equipe, le grand perdant de cet été, Anthony Lopes, a vidé son sac au sujet de sa mise à l'écart qu'il estime injustifiée.
"Il faut que je trouve un nouveau challenge le plus rapidement possible, parce que l’adrénaline du terrain et le jeu me manquent. Personne au club ne pourra me reprocher mon implication aux entraînements, je n’en ai loupé aucun, je suis toujours là avec le sourire, jamais boudeur alors que je pourrais l’être, mais ma situation personnelle ne doit pas empiéter sur le collectif. Je n’aurais jamais pensé que ma fin à l’OL serait celle-ci, j’avais imaginé autre chose", a t'il confié avant de poursuivre.
"Je pense tout simplement que je ne fais pas partie de la hiérarchie des gardiens de but à l’OL. Je suis à la place qu’on m’a donnée, c’est-à-dire aucune. (...) Je ne comprends rien à tout ça. Je ne pense pas comme ça donc je ne peux pas comprendre. Je n’ai pas eu d’explications. À partir du moment où on ne me reproche rien sportivement et sur mon implication tout au long des semaines, comment je peux le comprendre ? (...) Il faut savoir qu’on ne m’a jamais rien reproché sportivement ou dans mon implication à l’entraînement et dans le vestiaire… Mais la réalité, c’est qu’aujourd’hui je regarde les matches depuis le canapé"
A 4.5 millions d'euros par saison, ca fait cher le téléspectateur ...
11ème de Ligue 1 au soir de la 6ème journée de championnat, l'OL compte pour l'heure 6 points de retard sur la 3ème place occupée par l'Olympique de Marseille. Rien de rédhibitoire, même si les hommes de Pierre Sage vont devoir élever le curseur, car le succès face à Toulouse, dimanche dernier, relève quasiment du miracle.
Pour l'heure, on est donc clairement loin du niveau de jeu affiché par l'Olympique Lyonnais lors de la deuxième partie de saison dernière. Comment expliquer cela ? La réponse est simple : le mercato d'été qui a chamboulé l'harmonie trouvée par Pierre Sage.
Un mercato qui, un mois après avoir fermé ses portes, continue à faire parler. Dans un entretien accordé à L'Equipe, le grand perdant de cet été, Anthony Lopes, a vidé son sac au sujet de sa mise à l'écart qu'il estime injustifiée.
"Il faut que je trouve un nouveau challenge le plus rapidement possible, parce que l’adrénaline du terrain et le jeu me manquent. Personne au club ne pourra me reprocher mon implication aux entraînements, je n’en ai loupé aucun, je suis toujours là avec le sourire, jamais boudeur alors que je pourrais l’être, mais ma situation personnelle ne doit pas empiéter sur le collectif. Je n’aurais jamais pensé que ma fin à l’OL serait celle-ci, j’avais imaginé autre chose", a t'il confié avant de poursuivre.
"Je pense tout simplement que je ne fais pas partie de la hiérarchie des gardiens de but à l’OL. Je suis à la place qu’on m’a donnée, c’est-à-dire aucune. (...) Je ne comprends rien à tout ça. Je ne pense pas comme ça donc je ne peux pas comprendre. Je n’ai pas eu d’explications. À partir du moment où on ne me reproche rien sportivement et sur mon implication tout au long des semaines, comment je peux le comprendre ? (...) Il faut savoir qu’on ne m’a jamais rien reproché sportivement ou dans mon implication à l’entraînement et dans le vestiaire… Mais la réalité, c’est qu’aujourd’hui je regarde les matches depuis le canapé"
A 4.5 millions d'euros par saison, ca fait cher le téléspectateur ...