Le propriétaire de l'Olympique Lyonnais, John Textor, a lâché une petite bombe en annonçant que l'OL aurait les moyens de recruter en conséquence lors du prochain mercato. Réalité ou simple effet d'annonce afin de faire redescendre la pression auprès des supporters lyonnais ?
Difficile pour l'heure de répondre à cette interrogation tant l'homme d'affaires est un habitué aux coups d'épée dans l'eau. Pour rappel, Textor avait notamment annoncé qu'il ne ferait pas comme Jean-Michel Aulas en cédant ses pépites aux plus offrants. De ce fait, les propos du nouveau propriétaire de l'OL est à prendre avec des pincettes.
Autre fait qui nous oblige à être méfiant, la société Iconic, associée à l’homme d’affaires américain John Textor pour le rachat de l'Olympique Lyonnais il y a quelques mois, lui a demandé le remboursement des 75 M€ qu’elle lui avait apportés pour l’opération. Et comme "Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille", il ne serait pas étonnant qu'un nouveau problème surgisse dans les prochaines semaines.
Mais bon, dans ce marasme à la fois sportif et financier, tout n'est pas noir. En effet, une solution aurait déjà été trouvé pour dégager une grosse manne financière. Tony Parker a confirmé à L'Equipe s'être positionné pour racheter la LDLC Arena qui sera inaugurée dans quelques semaines. Cette nouvelle salle multifonctionnelle, portée par OL Groupe, est située à proximité du Groupama Stadium. La LDLC Arena devrait accueillir entre 100 et 120 événements par an avec une capacité de 6 000 à 16 000 personnes selon ses 8 configurations possibles permises par sa modularité.
"J'en ai parlé avec mes actionnaires, ils veulent foncer (sourire), et on a envie de se positionner pour racheter la salle ! C'est toujours bien pour un club d'être propriétaire de sa salle (…) Si on rachète la LDLC Arena, il faut que ce soit un business qui tourne, et on sait très bien que ce sont les concerts qui font tourner ce genre de salles", a déclaré Tony Parker avant de poursuivre.
"Je pense que l'on sera en position de force pour récupérer la salle. L'OL est quand même toujours actionnaire de l'Asvel et pour lui, ce serait une bonne chose que cela revienne au groupe que je mène, parce que ça restera dans l'écosystème lyonnais."
Aucun montant n'a pour l'heure filtré, mais cela devrait tourner autour des 140 millions d'euros, soit le coût de construction de la LDLC Arena.
Toujours est-il que le rêve de Jean-Michel Aulas d'un OL Group puissant, est en train d'être démantelé ...
Difficile pour l'heure de répondre à cette interrogation tant l'homme d'affaires est un habitué aux coups d'épée dans l'eau. Pour rappel, Textor avait notamment annoncé qu'il ne ferait pas comme Jean-Michel Aulas en cédant ses pépites aux plus offrants. De ce fait, les propos du nouveau propriétaire de l'OL est à prendre avec des pincettes.
Autre fait qui nous oblige à être méfiant, la société Iconic, associée à l’homme d’affaires américain John Textor pour le rachat de l'Olympique Lyonnais il y a quelques mois, lui a demandé le remboursement des 75 M€ qu’elle lui avait apportés pour l’opération. Et comme "Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille", il ne serait pas étonnant qu'un nouveau problème surgisse dans les prochaines semaines.
Mais bon, dans ce marasme à la fois sportif et financier, tout n'est pas noir. En effet, une solution aurait déjà été trouvé pour dégager une grosse manne financière. Tony Parker a confirmé à L'Equipe s'être positionné pour racheter la LDLC Arena qui sera inaugurée dans quelques semaines. Cette nouvelle salle multifonctionnelle, portée par OL Groupe, est située à proximité du Groupama Stadium. La LDLC Arena devrait accueillir entre 100 et 120 événements par an avec une capacité de 6 000 à 16 000 personnes selon ses 8 configurations possibles permises par sa modularité.
"J'en ai parlé avec mes actionnaires, ils veulent foncer (sourire), et on a envie de se positionner pour racheter la salle ! C'est toujours bien pour un club d'être propriétaire de sa salle (…) Si on rachète la LDLC Arena, il faut que ce soit un business qui tourne, et on sait très bien que ce sont les concerts qui font tourner ce genre de salles", a déclaré Tony Parker avant de poursuivre.
"Je pense que l'on sera en position de force pour récupérer la salle. L'OL est quand même toujours actionnaire de l'Asvel et pour lui, ce serait une bonne chose que cela revienne au groupe que je mène, parce que ça restera dans l'écosystème lyonnais."
Aucun montant n'a pour l'heure filtré, mais cela devrait tourner autour des 140 millions d'euros, soit le coût de construction de la LDLC Arena.
Toujours est-il que le rêve de Jean-Michel Aulas d'un OL Group puissant, est en train d'être démantelé ...