Ce mardi, la commission d'appel de la Direction Nationale de Contrôle et de Gestion (DNCG) a confirmé la décision prise le 4 juillet dernier contre l'Olympique Lyonnais. En effet, l'OL va devoir composer lors ce mercato avec un encadrement de sa masse salariale et des indemnités de mutations.
Une décision qui a provoqué la colère du nouveau propriétaire du club rhodanien, John Textor, qui dans un communiqué publié sur son site officiel, a vivement critiqué la DNCG et la bureaucratie française.
"Bienvenue en France... Nous avons été invités à acheter l'un des vrais trésors du football en France. Nous avons été invités à verser près de 400 millions d'euros en numéraire à ses actionnaires de longue date, à verser 65 millions d'euros en numéraire à ses actionnaires publics intéressés, à rembourser la dette bancaire de 50 millions d'euros, puis à financer 60 millions d'euros supplémentaires en numéraire (sur court préavis) … mais nous ne sommes pas encore invités à exécuter un plan d'affaires basé sur nos convictions, avec les mains libres, au profit de la communauté que nous servons (...) Encore une fois, bienvenue au football en France !" a indiqué Textor.
Interrogé à ce sujet par L'Equipe, l'ex propriétaire et emblématique président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, a eu un tout autre discours. En effet, l'ex dirigeant de l'OL a glissé un tacle à son successeur plutôt que de critiquer la décision de la DNCG.
"moi, je n’ai jamais été inquiété par la DNCG. Je n’ai jamais eu un quelconque problème en 35 ans de présidence. Jusqu’ici, la DNCG nous a toujours félicités pour notre gestion." a déclaré Aulas. C'est ce que l'on appelle un tacle à peine déguisé de Jean-Michel Aulas à John Textor.
Concernant Laurent Blanc, il va devoir faire avec les moyens du bord, et probablement composer avec des départs. Une situation qui est loin d'enchanter le Cévenol.
En effet, lorsqu'il a rejoint les rangs de l'Olympique Lyonnais en octobre dernier, ce n'était clairement pas le projet qui lui avait été vendu. En effet, l'ex entraîneur du PSG s'était vu promettre une enveloppe mercato conséquente pour construire une équipe à son image et surtout compétitive.
A l'heure actuelle Laurent Blanc prend les choses avec fatalisme. Mais il ne serait pas étonnant qu'il claque rapidement la porte si son effectif venait à être qualitativement inférieur à celui de la saison dernière.
Rien de bien rassurant tout ça ...
Une décision qui a provoqué la colère du nouveau propriétaire du club rhodanien, John Textor, qui dans un communiqué publié sur son site officiel, a vivement critiqué la DNCG et la bureaucratie française.
"Bienvenue en France... Nous avons été invités à acheter l'un des vrais trésors du football en France. Nous avons été invités à verser près de 400 millions d'euros en numéraire à ses actionnaires de longue date, à verser 65 millions d'euros en numéraire à ses actionnaires publics intéressés, à rembourser la dette bancaire de 50 millions d'euros, puis à financer 60 millions d'euros supplémentaires en numéraire (sur court préavis) … mais nous ne sommes pas encore invités à exécuter un plan d'affaires basé sur nos convictions, avec les mains libres, au profit de la communauté que nous servons (...) Encore une fois, bienvenue au football en France !" a indiqué Textor.
Interrogé à ce sujet par L'Equipe, l'ex propriétaire et emblématique président de l'Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, a eu un tout autre discours. En effet, l'ex dirigeant de l'OL a glissé un tacle à son successeur plutôt que de critiquer la décision de la DNCG.
"moi, je n’ai jamais été inquiété par la DNCG. Je n’ai jamais eu un quelconque problème en 35 ans de présidence. Jusqu’ici, la DNCG nous a toujours félicités pour notre gestion." a déclaré Aulas. C'est ce que l'on appelle un tacle à peine déguisé de Jean-Michel Aulas à John Textor.
Concernant Laurent Blanc, il va devoir faire avec les moyens du bord, et probablement composer avec des départs. Une situation qui est loin d'enchanter le Cévenol.
En effet, lorsqu'il a rejoint les rangs de l'Olympique Lyonnais en octobre dernier, ce n'était clairement pas le projet qui lui avait été vendu. En effet, l'ex entraîneur du PSG s'était vu promettre une enveloppe mercato conséquente pour construire une équipe à son image et surtout compétitive.
A l'heure actuelle Laurent Blanc prend les choses avec fatalisme. Mais il ne serait pas étonnant qu'il claque rapidement la porte si son effectif venait à être qualitativement inférieur à celui de la saison dernière.
Rien de bien rassurant tout ça ...
