Alors qu'il ne reste plus qu'une journée à disputer, l'OGC Nice n'est pas assuré de jouer l'Europe la saison prochaine. Les Aiglons devront faire mieux que Strasbourg qui occupe la 5ème place, qualificative pour la Conférence League. Une deuxième saison consécutive sans compétition européenne ?
C'est le triste bilan qui ressort depuis que le Gym a été racheté par Jim Ratcliffe, le patron du géant Ineos, à l'été 2019. Un premier mercato intéressant avec les arrivées de Kasper Dolberg (20M€) et Alexis Claude-Maurice (13M€) avant la venue du crack Amine Gouiri (OL) l'été suivant... mais ça reste insuffisant. On sent que Nice n'a toujours pas enclenché la deuxième et les derniers classements de Ligue 1 le prouvent. Une 5ème place prometteuse lors de la première saison avant de s'effondrer la saison dernière (9e).
Un manque d'ambition du propriétaire niçois ? C'est ce que souligne Jérôme Rothen. Dans son émission Rothen s'enflamme, le consultant pointe du doigt le milliardaire anglais et l'accuse de ne pas investir assez. Un discours ambitieux à l'entendre, mais les actes ne suivent pas...
"Le problème ? C'est l'argent. On se disait qu'il allait mettre de l'argent, on a vu la fortune de Monsieur Ratcliffe. On pensait que la Ligue des Champions allait bientôt arriver à Nice, on disait même qu'ils allaient la gagner avant le Paris Saint-Germain. Quand tu mets la barre aussi haute, forcément, au bout de quelques mois, tu attends des investissements importants. Cent millions d'euros, c'est un beau budget, mais c'est déjà insuffisant pour rivaliser avec les meilleures équipes de France, donc je ne parle même pas en Europe.
"Si tu ne mets pas plus d'argent sur la table, tu ne pourras pas faire évoluer Nice. On se demande pourquoi il est venu à Nice pour vendre du rêve comme ça. S'il veut me faire taire, faire taire les Niçois et Galtier, il met 150 millions d'euros dans le recrutement cet été et là on la fermera", a balancé l'ancien joueur parisien sur RMC.
C'est le triste bilan qui ressort depuis que le Gym a été racheté par Jim Ratcliffe, le patron du géant Ineos, à l'été 2019. Un premier mercato intéressant avec les arrivées de Kasper Dolberg (20M€) et Alexis Claude-Maurice (13M€) avant la venue du crack Amine Gouiri (OL) l'été suivant... mais ça reste insuffisant. On sent que Nice n'a toujours pas enclenché la deuxième et les derniers classements de Ligue 1 le prouvent. Une 5ème place prometteuse lors de la première saison avant de s'effondrer la saison dernière (9e).
Un manque d'ambition du propriétaire niçois ? C'est ce que souligne Jérôme Rothen. Dans son émission Rothen s'enflamme, le consultant pointe du doigt le milliardaire anglais et l'accuse de ne pas investir assez. Un discours ambitieux à l'entendre, mais les actes ne suivent pas...
"Le problème ? C'est l'argent. On se disait qu'il allait mettre de l'argent, on a vu la fortune de Monsieur Ratcliffe. On pensait que la Ligue des Champions allait bientôt arriver à Nice, on disait même qu'ils allaient la gagner avant le Paris Saint-Germain. Quand tu mets la barre aussi haute, forcément, au bout de quelques mois, tu attends des investissements importants. Cent millions d'euros, c'est un beau budget, mais c'est déjà insuffisant pour rivaliser avec les meilleures équipes de France, donc je ne parle même pas en Europe.
"Si tu ne mets pas plus d'argent sur la table, tu ne pourras pas faire évoluer Nice. On se demande pourquoi il est venu à Nice pour vendre du rêve comme ça. S'il veut me faire taire, faire taire les Niçois et Galtier, il met 150 millions d'euros dans le recrutement cet été et là on la fermera", a balancé l'ancien joueur parisien sur RMC.