Un an après son arrivée à Montpellier HSC, Mousa Al Tamari pourrait bien déjà mettre les voiles. L'ailier jordanien qui a réalisé une bonne coupe d'Asie des Nations et qui a inscrit 5 buts pour 4 passes décisives en Ligue 1 la saison dernière, et surveillé de près par des clubs européens et d'Arabie Saoudite.
L'Arabie Saoudite à la manœuvre
C'est en Arabie Saoudite que l'intérêt pour l'attaquant jordanien semble le plus marqué. Selon le journaliste Nabil Djellit, plusieurs clubs saoudiens seraient très chaud à l'idée de s'attacher les services de l'international jordanien.
Neom FC qui évolue en deuxième division, aurait déjà formulé une offre concrète de 6 millions d'euros. Mais les prétendants ne manquent pas puisque Al Shabab et Al Nassr, deux clubs historiques du championnat saoudien, seraient également sur les rangs.
Neom FC qui évolue en deuxième division, aurait déjà formulé une offre concrète de 6 millions d'euros. Mais les prétendants ne manquent pas puisque Al Shabab et Al Nassr, deux clubs historiques du championnat saoudien, seraient également sur les rangs.
Un intérêt européen
Si l'Arabie Saoudite montre le plus grand intérêt pour Al Tamari, l'Europe n'est pas en reste. En effet, le journaliste évoque un intérêt de Stuttgart et de Leicester City. Ces deux clubs, qui évoluent respectivement en Bundesliga et en Premier League, pourraient offrir à l'attaquant jordanien une vitrine encore plus importante.
Grosse plus value pour le MHSC
Sous contrat jusqu'en 2026 avec le MHSC, Mousa Al Tamari dispose d'une belle cote sur le marché des transferts. Son départ pourrait rapporter gros au club héraultais qui avait recruté librement le joueur en provenance d'OH Louvain en 2023.
Mousa Al Tamari qui est actuellement valorisé à 8 millions d'euros par le site Transfermarkt, pourrait donc permettre au club héraultais de réaliser une belle plus-value.
Mousa Al Tamari qui est actuellement valorisé à 8 millions d'euros par le site Transfermarkt, pourrait donc permettre au club héraultais de réaliser une belle plus-value.
