Interrogé au sujet du recrutement d'un attaquant au micro de Canal+, en marge du match amical remporté par l'OM ce mardi face au Sporting Portugal (2-1), le président du club Phocéen, Jacques-Henri Eyraud s'est montré assez énigmatique. En effet le dirigeant de l'OM a laissé entendre que le recrutement d'une pointure offensive n'était forcément une priorité.
«Je ne sais pas ce que veut dire la notion de "grand attaquant"... On a un grand attaquant avec Valère Germain, qui vient d'être champion de France et qui a marqué beaucoup de buts. (...) Nous sommes ravis de commencer cette préparation et de continuer toute la saison avec lui. Après le 'grand attaquant', je ne comprends pas trop. (...) S'il faut renforcer l'attaque, on le fera. On a des ambitions, on veut aller le plus haut possible, faire mieux que l'an passé donc on va continuer de réfléchir pour renforcer l'effectif» a déclaré le président Eyraud.
«Je ne sais pas ce que veut dire la notion de "grand attaquant"... On a un grand attaquant avec Valère Germain, qui vient d'être champion de France et qui a marqué beaucoup de buts. (...) Nous sommes ravis de commencer cette préparation et de continuer toute la saison avec lui. Après le 'grand attaquant', je ne comprends pas trop. (...) S'il faut renforcer l'attaque, on le fera. On a des ambitions, on veut aller le plus haut possible, faire mieux que l'an passé donc on va continuer de réfléchir pour renforcer l'effectif» a déclaré le président Eyraud.
Eyraud calme le jeu
Le "S'il faut renforcer l'attaque" met en évidence le fait qu'aucun choix n'est pour l'heure arrêté à ce sujet. L'OM cherche donc bien un attaquant, mais à ses conditions. La communication du président Eyraud est donc basée sur l'hypothèse que l'arrivée d'une pointure offensive n'est pas assurée à 100%.