Adil Rami - Site officiel de l'Olympique de Marseille
"Je me souviens, ma soeur était à Istanbul, j'étais à Saint-Tropez, et là, je lui ai dit : "Écoute, on va aller à Istanbul, parce que j'ai parlé avec Rudi Garcia, mais je n'ai pas eu de nouvelles du président." J'ai besoin d'affectif, besoin de savoir que tout le monde m'aime au club pour me sentir bien. J'ai donc dit à ma soeur d'accepter Besiktas qui attendait mon accord. Sur le papier, j'étais le choix numéro un. Et le numéro deux était Pepe. Mais quand Jean-Michel... euh Jacques-Henri... J'allais dire Jean-Michel Eyraud ! (Rires) Quand il m'a appelé et m'a fait comprendre qu'il avait vraiment envie de m'avoir, qu'il aimait bien mon caractère, j'ai vite raccroché et appelé ma soeur. Elle était avec quatre ou cinq mecs de Besiktas. Je lui ai dit : 'Oublie l'argent qu'il y a en plus en Turquie, je vais à Marseille.'" a confié Rami.