Face à Montpellier HSC, ce dimanche pour le compte de la 35e journée de Ligue 1, le FC Lorient a loupé une belle occasion de revenir à seulement 2 points de l'Olympique Lyonnais, 7e de Ligue 1. Après avoir ouvert le score par l'intermédiaire de Romain Faivre, les Merlus ont hélas encaissé un but de Faitout Maouassa dans le temps additionnel.
Une septième place qui n'est pas qualificative pour une coupe européenne, mais ponctuerait une belle saison des Merlus même si la deuxième phase du championnat fut bien plus compliquée.
Néanmoins cette bonne première saison de Régis Le Bris va permettre au club breton de se construire sur des bases solides, à condition toutefois que le FCL ne se fasse pas dépouiller dans les années à venir par son futur "gros" actionnaire.
Une septième place qui n'est pas qualificative pour une coupe européenne, mais ponctuerait une belle saison des Merlus même si la deuxième phase du championnat fut bien plus compliquée.
Néanmoins cette bonne première saison de Régis Le Bris va permettre au club breton de se construire sur des bases solides, à condition toutefois que le FCL ne se fasse pas dépouiller dans les années à venir par son futur "gros" actionnaire.
Lorient club satellite de Bournemouth ?
Dans une interview accordée au média The Athletic , le milliardaire américain Bill Foley, propriétaire de Bournemouth, qui deviendra à partir du mois de juin l'actionnaire du FC Lorient à hauteur de 40 %, n'a pas caché qu'il ambitionnait de faire des Merlus un club satellite des Cherries.
" Nous avons la possibilité de devenir actionnaires majoritaires et, à partir de juin, nous détiendrons environ 40 % de l’équipe (Lorient). C’est un endroit où nous pouvons placer et acheter des joueurs. Le modèle multi-club est la deuxième partie de l’histoire. Si je dois acquérir des joueurs, pourquoi ne pas le faire à moi-même ? C’est beaucoup moins cher. Le seul inconvénient est que si vous avez deux ou trois très bonnes équipes, une seule peut jouer en Europe. " a t'il déclaré avant d'en rajouter une couche.
" Je suis juste honnête. Beaucoup de joueurs de Ligue 1 veulent rejoindre la Premier League, et nous voulons leur donner cette opportunité. Nous voulons que Lorient soit très bon et s’ils peuvent jouer en Europe, nous voulons qu’ils le fassent. Nous ne voulons pas que Loïc (Féry) vende tous ses meilleurs joueurs. Nous voulons qu’ils aient la possibilité de rejoindre l’Europe. Mais si un joueur veut partir, je ne veux pas qu’il aille à Liverpool ou à Arsenal, je veux qu’il vienne chez nous. "
Le dernier club français à être devenu une formation satellite d'un club de Premier League, c'est l'ESTAC Troyes. Espérons que la destinée des Merlus soit différente ...
" Nous avons la possibilité de devenir actionnaires majoritaires et, à partir de juin, nous détiendrons environ 40 % de l’équipe (Lorient). C’est un endroit où nous pouvons placer et acheter des joueurs. Le modèle multi-club est la deuxième partie de l’histoire. Si je dois acquérir des joueurs, pourquoi ne pas le faire à moi-même ? C’est beaucoup moins cher. Le seul inconvénient est que si vous avez deux ou trois très bonnes équipes, une seule peut jouer en Europe. " a t'il déclaré avant d'en rajouter une couche.
" Je suis juste honnête. Beaucoup de joueurs de Ligue 1 veulent rejoindre la Premier League, et nous voulons leur donner cette opportunité. Nous voulons que Lorient soit très bon et s’ils peuvent jouer en Europe, nous voulons qu’ils le fassent. Nous ne voulons pas que Loïc (Féry) vende tous ses meilleurs joueurs. Nous voulons qu’ils aient la possibilité de rejoindre l’Europe. Mais si un joueur veut partir, je ne veux pas qu’il aille à Liverpool ou à Arsenal, je veux qu’il vienne chez nous. "
Le dernier club français à être devenu une formation satellite d'un club de Premier League, c'est l'ESTAC Troyes. Espérons que la destinée des Merlus soit différente ...