En course pour la montée la saison prochaine, le FC Sochaux est actuellement 5e du championnat de Ligue 2, synonyme de barrages, et a creusé un écart important avec ses poursuivants. Dix points les séparent déjà avec Le Havre (6e). Les joueurs sochaliens peuvent désormais regarder devant pour essayer de grapiller quelques places avant les play-offs qui ont lieu habituellement en mai. Mais Sochaux pourrait bien avoir d'autres problèmes à régler d'ici la fin de la saison...
Le FC Sochaux et son mythique stade Auguste-Bonal, une histoire d'amour qui dure depuis 91 ans. Une histoire plus que menacée qui pourrait prendre fin cet été. En effet, selon l'Est Républicain, ce partenariat qui date de 1931 pourrait bien se terminer très bientôt. Légalement, Bonal n'appartiendra plus au club de Ligue 2 à partir du 1er avril prochain. La faute à un désaccord entre le propriétaire de l'enceinte et les dirigeants de Sochaux pour le renouvellement du contrat.
En effet, le FCSM pourrait perdre pas loin de 500 000 euros par an s'ils acceptent les nouvelles conditions exigées par le propriétaire. Un nouveau partenariat que refuse la direction. Cela pousserait même le club a délocalisé ses derniers matchs de championnat à domicile. Sur les 8 dernières journées à disputer, quatre devaient se jouer à Bonal.
Pas un soucis pour le directeur général Samuel Laurent qui a lâché dans L'Équipe être prêt à jouer à "Gueugnon, Mulhouse ou Dijon. Ce serait du bricolage, on le regretterait pour nos fans et nos partenaires, mais si on n'a pas le choix, on le fera."
Le FC Sochaux et son mythique stade Auguste-Bonal, une histoire d'amour qui dure depuis 91 ans. Une histoire plus que menacée qui pourrait prendre fin cet été. En effet, selon l'Est Républicain, ce partenariat qui date de 1931 pourrait bien se terminer très bientôt. Légalement, Bonal n'appartiendra plus au club de Ligue 2 à partir du 1er avril prochain. La faute à un désaccord entre le propriétaire de l'enceinte et les dirigeants de Sochaux pour le renouvellement du contrat.
En effet, le FCSM pourrait perdre pas loin de 500 000 euros par an s'ils acceptent les nouvelles conditions exigées par le propriétaire. Un nouveau partenariat que refuse la direction. Cela pousserait même le club a délocalisé ses derniers matchs de championnat à domicile. Sur les 8 dernières journées à disputer, quatre devaient se jouer à Bonal.
Pas un soucis pour le directeur général Samuel Laurent qui a lâché dans L'Équipe être prêt à jouer à "Gueugnon, Mulhouse ou Dijon. Ce serait du bricolage, on le regretterait pour nos fans et nos partenaires, mais si on n'a pas le choix, on le fera."