Arrivé à l'ESTAC en janvier 2022, Bruno Irles, le désormais ex-entraîneur de Troyes a été mis à pied par sa direction ce mardi, lui qui n'est pas parvenu à gagner le moindre match depuis le 18 septembre dernier et une victoire face à Clermont (3-1).
6ème entraîneur de Ligue 1 limogé en moins de deux mois
Le début de la saison aura été fatal pour de nombreux entraîneurs en Ligue 1. En effet, après Peter Bosz à Lyon, Michel Der Zakarian à Brest, Jean-Marc Furlan à Auxerre, Oscar Garcia à Reims ainsi qu'Olivier Dall'Oglio à Montpellier, c'est désormais au tour de Bruno Irles de connaître le même sort que ses homologues.
"L'ESTAC annonce la mise à pied à titre conservatoire, à compter de ce jour, de Bruno Irles, entraîneur principal du groupe professionnel. L'intérim sera assuré cette semaine et jusqu'à nouvel ordre par Claude Robin", a indiqué le club troyen dans un communiqué.
"L'ESTAC annonce la mise à pied à titre conservatoire, à compter de ce jour, de Bruno Irles, entraîneur principal du groupe professionnel. L'intérim sera assuré cette semaine et jusqu'à nouvel ordre par Claude Robin", a indiqué le club troyen dans un communiqué.
Les petits clubs de Ligue 1 sous pression
Le passage de Bruno Irles à Troyes aura duré moins d'une saison, lui qui a bousculé les habitudes sportives et extra-sportives de ses joueurs durant son passage, à tel point qu'une partie des joueurs et des supporters s'étaient ligués contre lui.
Longtemps soutenu par ses dirigeants, Bruno Irles était beaucoup critiqué par ses joueurs qui contestaient ses méthodes employées lors des entraînements, jusqu'à s'en plaindre à la direction troyenne.
Cette nouvelle mise à pied montre à quel point les clubs de bas de tableau de Ligue 1 sont sous pression face aux quatre descentes en Ligue 2 programmées pour la fin de la saison.
Longtemps soutenu par ses dirigeants, Bruno Irles était beaucoup critiqué par ses joueurs qui contestaient ses méthodes employées lors des entraînements, jusqu'à s'en plaindre à la direction troyenne.
Cette nouvelle mise à pied montre à quel point les clubs de bas de tableau de Ligue 1 sont sous pression face aux quatre descentes en Ligue 2 programmées pour la fin de la saison.