Son arrivée au PSG
« J’ai toujours été un supporter de Paris. J’ai grandi ici et c’était un honneur de porter ce maillot. (...) L’entraîneur m’avait dit que les propriétaires qataris avaient l’ambition de faire de Paris le meilleur club français, mais on a vu très vite que l’ambition était bien plus grande encore. Le club a grandi à une vitesse phénoménale. »
Sa progression
« Si j’ai grandi, si j’ai franchi beaucoup de paliers, c’est parce que mes coéquipiers m’ont aidé à bosser plus et mieux! Sur le terrain, lors des entraînements, mais aussi en dehors sur tout ce qui entoure l’entraînement proprement dit. (...) J’ai appris à prendre soin de mon corps, j’ai regardé ce que faisaient mes coéquipiers car ces joueurs sont des exemples en matière de préparation, en matière d’alimentation, etc. (...) Ce n’est jamais simple dans un grand club, la remise en question est permanente. Dès que tu es moins bien, tu es remplacé et tu perds ta place. Donc, il faut toujours être à cent pour cent. »
Son influence
« Aujourd’hui, mes coéquipiers me demandent de prendre la parole dans le vestiaire. Même si ce n’est pas ma qualité première, même si je préfère m’exprimer sur le terrain, ça me touche et je ne me cache pas. Ça prouve que j’ai gagné leur respect comme footballeur, mais aussi en tant qu’homme. C’est une vraie fierté, car au-delà de l’affection il y a la reconnaissance. »
La totalité de l'interview à paraître demain dans France Football
« Si j’ai grandi, si j’ai franchi beaucoup de paliers, c’est parce que mes coéquipiers m’ont aidé à bosser plus et mieux! Sur le terrain, lors des entraînements, mais aussi en dehors sur tout ce qui entoure l’entraînement proprement dit. (...) J’ai appris à prendre soin de mon corps, j’ai regardé ce que faisaient mes coéquipiers car ces joueurs sont des exemples en matière de préparation, en matière d’alimentation, etc. (...) Ce n’est jamais simple dans un grand club, la remise en question est permanente. Dès que tu es moins bien, tu es remplacé et tu perds ta place. Donc, il faut toujours être à cent pour cent. »
Son influence
« Aujourd’hui, mes coéquipiers me demandent de prendre la parole dans le vestiaire. Même si ce n’est pas ma qualité première, même si je préfère m’exprimer sur le terrain, ça me touche et je ne me cache pas. Ça prouve que j’ai gagné leur respect comme footballeur, mais aussi en tant qu’homme. C’est une vraie fierté, car au-delà de l’affection il y a la reconnaissance. »
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