Le Stade Rennais a confirmé face à Toulouse Football Club, son gros coup de mou du moment. Battu au Roazhon Park par le TFC (1-2), ce samedi, Rennes vient d'enchaîner une 4ème défaite de rang toutes compétitions confondues. Un revers qui n'est pas sans conséquence. En effet, le SRFC peut d'ores et déjà dire adieu à l'une des 4 premières places qualificatives pour la Ligue des Champions, et pourrait même reculer à la 10ème place de Ligue 1 en cas de succès de l'Olympique Lyonnais face au Stade Brestois.
Mais au delà de la défaite, c'est le contenu qui inquiète. Peu inspiré offensivement, le Stade Rennais a fait preuve face à Toulouse, d'une fébrilité à tous les étages. Et quand on parle de tous les étages, on prend en compte Julien Stéphan.
Alors que son retour fut payant en début d'année avec 10 victoires en 13 matchs, le successeur de Bruno Genesio a semble t'il perdu le fil. Le choc psychologique et l'euphorie passée, les joueurs de Rennes sont retombés dans leurs travers de la première partie de saison.
Interrogé après la défaite face au TFC, Julien Stéphan a livré un discours d'un entraîneur sans arme : "C'est un très mauvais match. On peut perdre, mais on ne peut pas accepter de perdre comme ça. (...) Comment l'expliquer ? Je ne sais pas, comme ça, à chaud. Rien ne laissait imaginer une telle seconde période, proche du néant. Il va falloir chercher les explications. C'est hors de question de reproduire ce genre de match et de terminer en roue libre la saison. Nous avons besoin d'une grosse remise en question collective pour rebondir. Il faut montrer plus de résilience dans les moments difficiles. Nous devons trouver comment rebondir à nouveau pour terminer la saison"
Bien sûr il est nécessaire d'éviter cette culture de l'instant en ayant un peu de recul, mais Julien Stéphan est-il l'homme de la situation ? Comme pour sa fin de parcours au RC Strasbourg, Stéphan a du mal à trouver la clé et avoir le bon discours pour remobiliser ses troupes lorsqu'un grain sable vient enrayer la machine.
La force d'un bon entraîneur est de savoir gérer les moments creux. Et si les dirigeants du Stade Rennais étaient allés trop vite en besogne en prolongeant "prématurément" Julien Stéphan ?
Mais au delà de la défaite, c'est le contenu qui inquiète. Peu inspiré offensivement, le Stade Rennais a fait preuve face à Toulouse, d'une fébrilité à tous les étages. Et quand on parle de tous les étages, on prend en compte Julien Stéphan.
Alors que son retour fut payant en début d'année avec 10 victoires en 13 matchs, le successeur de Bruno Genesio a semble t'il perdu le fil. Le choc psychologique et l'euphorie passée, les joueurs de Rennes sont retombés dans leurs travers de la première partie de saison.
Interrogé après la défaite face au TFC, Julien Stéphan a livré un discours d'un entraîneur sans arme : "C'est un très mauvais match. On peut perdre, mais on ne peut pas accepter de perdre comme ça. (...) Comment l'expliquer ? Je ne sais pas, comme ça, à chaud. Rien ne laissait imaginer une telle seconde période, proche du néant. Il va falloir chercher les explications. C'est hors de question de reproduire ce genre de match et de terminer en roue libre la saison. Nous avons besoin d'une grosse remise en question collective pour rebondir. Il faut montrer plus de résilience dans les moments difficiles. Nous devons trouver comment rebondir à nouveau pour terminer la saison"
Bien sûr il est nécessaire d'éviter cette culture de l'instant en ayant un peu de recul, mais Julien Stéphan est-il l'homme de la situation ? Comme pour sa fin de parcours au RC Strasbourg, Stéphan a du mal à trouver la clé et avoir le bon discours pour remobiliser ses troupes lorsqu'un grain sable vient enrayer la machine.
La force d'un bon entraîneur est de savoir gérer les moments creux. Et si les dirigeants du Stade Rennais étaient allés trop vite en besogne en prolongeant "prématurément" Julien Stéphan ?