Une "règle" absurde pénalise les arbitres en cas d'utilisation de l'assistance vidéo. En cas de visionnage de la VAR, les arbitres perdent des points sur leur note globale et cela peut même conduire jusqu'à une relégation dans la division inférieure en cas d'abus. Une règle qu'Antony Gautier, directeur technique de l'arbitrage, veut abolir dès la saison 2023/2024.
"Moi je souhaite que, dès le début de la saison 2023-2024, nous revenions sur ce principe qui consiste à pénaliser dans la notation un arbitre qui a recours à l’assistance vidéo. Pour moi, la priorité sera toujours sur la prise de décision sur le terrain c’est une évidence et ça fait partie des responsabilités des arbitres. Par contre, avoir recours à la vidéo ne doit pas être préjudiciable pour les arbitres et doit permettre de prendre en toute transparence les bonnes décisions. C’est la seule chose qui doit nous animer et le seul objectif que l’on doit atteindre." a affirmé l'ancien arbitre interrogé par canal +.
Antony Gautier confirme donc que la peur de la sanction (une mauvaise notation) engendre tout logiquement un effet pervers concernant l'utilisation de la VAR. Un sacré paradoxe alors que cette dernière est censée être une aide à l'arbitrage, et non une contrainte.
"Moi je souhaite que, dès le début de la saison 2023-2024, nous revenions sur ce principe qui consiste à pénaliser dans la notation un arbitre qui a recours à l’assistance vidéo. Pour moi, la priorité sera toujours sur la prise de décision sur le terrain c’est une évidence et ça fait partie des responsabilités des arbitres. Par contre, avoir recours à la vidéo ne doit pas être préjudiciable pour les arbitres et doit permettre de prendre en toute transparence les bonnes décisions. C’est la seule chose qui doit nous animer et le seul objectif que l’on doit atteindre." a affirmé l'ancien arbitre interrogé par canal +.
Antony Gautier confirme donc que la peur de la sanction (une mauvaise notation) engendre tout logiquement un effet pervers concernant l'utilisation de la VAR. Un sacré paradoxe alors que cette dernière est censée être une aide à l'arbitrage, et non une contrainte.