Hier dans les colonnes de La Voix des Sports, l'actuel entraîneur du Gym, Christophe Galtier, avait attaqué Olivier Létang avec lequel il a passé une saison au LOSC à l'issue de laquelle les Dogues ont décroché un titre de champion de France.
Il n'a pas apprécié la façon dont les choses se sont déroulées à l'intersaison, lors de son départ du club nordiste pour l'OGC Nice, l'accusant de "se foutre de l'institution" et ne pensant qu'à ses propres intérêts.
Il n'a pas apprécié la façon dont les choses se sont déroulées à l'intersaison, lors de son départ du club nordiste pour l'OGC Nice, l'accusant de "se foutre de l'institution" et ne pensant qu'à ses propres intérêts.
Létang contre-attaque !
Le président de Lille a de suite répondu à ses accusations en expliquant que Christophe Galtier n'a jamais laissé entendre un possible départ du club. Ce dernier l'aurait fait savoir que fin mai, soit deux jours après le sacre de champion de France. De quoi contredire les propos du coach français qui avait confié vouloir s'en aller du club lors de la trêve hivernale en 2020 suite aux départs de Gérard Lopez puis Luis Campos.
"Je n'ai vu aucun signe avant-coureur. Nous étions pris par le fait de performer et de finir le plus haut possible. Il ne fallait pas perturber l'équilibre, donc il n'a légitimement jamais laissé transparaître un possible départ", a d'abord expliqué le président lillois dans La Voix du Nord avant de remettre une couche.
"C'est assez clair, et j'ai des messages écrits. J'ai été informé de sa décision de partir le mardi 25 mai à 16h56. Nous nous étions vus longuement le matin, et il m'a dit pour la première fois qu'il avait la volonté de s'en aller. Mais à la fin de l'échange il était certain. (...) La situation a changé à partir de mi-juin quand il a compris que je respecterais ce que je lui avais dit le 25 mai, à savoir qu'il pouvait partir, mais pas libre, et que nous avons demandé à l'OGC Nice de prendre une position claire."
"Je n'ai vu aucun signe avant-coureur. Nous étions pris par le fait de performer et de finir le plus haut possible. Il ne fallait pas perturber l'équilibre, donc il n'a légitimement jamais laissé transparaître un possible départ", a d'abord expliqué le président lillois dans La Voix du Nord avant de remettre une couche.
"C'est assez clair, et j'ai des messages écrits. J'ai été informé de sa décision de partir le mardi 25 mai à 16h56. Nous nous étions vus longuement le matin, et il m'a dit pour la première fois qu'il avait la volonté de s'en aller. Mais à la fin de l'échange il était certain. (...) La situation a changé à partir de mi-juin quand il a compris que je respecterais ce que je lui avais dit le 25 mai, à savoir qu'il pouvait partir, mais pas libre, et que nous avons demandé à l'OGC Nice de prendre une position claire."