Quelle frustration pour le LOSC ce nul face au Toulouse Football Club. Une rencontre dominée de la tête et des épaules par Lille, qui a hélas fait preuve d'un manque de réalisme offensif. Bien sûr, Lille n'a pas été aidé par l'état déplorable de la pelouse de la Décathlon Arena Stade Pierre-Mauroy. Mais tout de même ...
Toujours est-il que cette pelouse a provoqué des tensions entre le LOSC et la Métropole européenne de Lille (MEL), propriétaire du stade. En effet, Damien Castelain, président de la MEL, a dans un entretien accordé à RMC Sport, fait part de son agacement suite aux attaques du président Olivier Létang qui réclame depuis plusieurs semaines un changement de pelouse et une baisse significative du loyer qu'il estime injustifié.
"Il est normal que le Losc soit insatisfait (...) On le savait depuis le départ après cinq matchs de la Coupe du monde. Il suffit de regarder les autres villes en France où il y a eu du rugby et elles n’ont pas toutes changé la pelouse. Cela a un coût, à un moment où les gens souffrent des inondations, des conflits… Ce n’est pas le moment de dépenser 500.000 à 700.000 euros d’argent public. Après les cinq matchs de rugby, nous avons prévu de cocooner la pelouse, de la chouchouter. Lille ne joue pas dans le stade avant le 3 décembre. Nous ferons le point fin novembre, mais il n’est pas prévu de changer la pelouse.", a t'il déclaré avant de poursuivre.
"Nous sommes surpris de ces déclarations, de ces attaques perpétuelles alors que la MEL dépense 30 millions d’euros par an pour financer un équipement et un stade dédiés à l’équipe du Losc. Donc nous critiquer sur la cherté du loyer... Nous ne sommes pas dans un petit stade. Il y a une toiture, il y a tous les équipements conformes pour que le Losc paye 6,5 millions d’euros de loyer par an. (...) On ne comprend pas cette envolée. Surtout que quand on se plaint, il faudrait aussi quand même payer ses loyers. Ce qui n’est pas le cas du Losc depuis 2021 et 2022 (6.5 millions d'euros d'arriérés).
C'est ce que l'on appelle un sacré coup de pression. Toujours selon RMC, le LOSC a reçu un mail des finances publiques indiquant que les comptes du club pourraient être saisis afin récupérer les sommes dues.
Toujours est-il que cette pelouse a provoqué des tensions entre le LOSC et la Métropole européenne de Lille (MEL), propriétaire du stade. En effet, Damien Castelain, président de la MEL, a dans un entretien accordé à RMC Sport, fait part de son agacement suite aux attaques du président Olivier Létang qui réclame depuis plusieurs semaines un changement de pelouse et une baisse significative du loyer qu'il estime injustifié.
"Il est normal que le Losc soit insatisfait (...) On le savait depuis le départ après cinq matchs de la Coupe du monde. Il suffit de regarder les autres villes en France où il y a eu du rugby et elles n’ont pas toutes changé la pelouse. Cela a un coût, à un moment où les gens souffrent des inondations, des conflits… Ce n’est pas le moment de dépenser 500.000 à 700.000 euros d’argent public. Après les cinq matchs de rugby, nous avons prévu de cocooner la pelouse, de la chouchouter. Lille ne joue pas dans le stade avant le 3 décembre. Nous ferons le point fin novembre, mais il n’est pas prévu de changer la pelouse.", a t'il déclaré avant de poursuivre.
"Nous sommes surpris de ces déclarations, de ces attaques perpétuelles alors que la MEL dépense 30 millions d’euros par an pour financer un équipement et un stade dédiés à l’équipe du Losc. Donc nous critiquer sur la cherté du loyer... Nous ne sommes pas dans un petit stade. Il y a une toiture, il y a tous les équipements conformes pour que le Losc paye 6,5 millions d’euros de loyer par an. (...) On ne comprend pas cette envolée. Surtout que quand on se plaint, il faudrait aussi quand même payer ses loyers. Ce qui n’est pas le cas du Losc depuis 2021 et 2022 (6.5 millions d'euros d'arriérés).
C'est ce que l'on appelle un sacré coup de pression. Toujours selon RMC, le LOSC a reçu un mail des finances publiques indiquant que les comptes du club pourraient être saisis afin récupérer les sommes dues.