Fort d'une belle victoire sur la pelouse du FC Séville en Ligue des Champions, le LOSC était donc dans de bonnes conditions pour pouvoir confirmer, samedi, face à Angers SCO en Ligue 1. Hélas, et comme d'habitude cette saison, les choses ne se sont pas passées comme prévu.
En effet, Lille n'a pu faire mieux qu'un match nul face au club angevin (1-1), alors que les hommes de Jocelyn Gourvennec avaient pourtant ouvert le score. Une énième contre-performance d'un LOSC pas assez tueur devant le but, qui agace sérieusement l'entraîneur breton de Lille.
" On a des très grosses occasions. Petkovic sort les arrêts qu’il faut. J’ai le même sentiment que celui qu’on avait contre Brest, on n’arrive pas à se mettre à l’abri. Ça nous coûte cher en terme comptable. On a du mal à enchaîner, on lâche des points. On voulait presser leur construction, sur les centraux de côté. C’est quelque chose qu’on a bien fait. C’est plus concernant les pertes de balle que ça a été compliqué. Je trouve qu’on a bien corrigé ça en deuxième. On lâche deux points, parce qu’on ne fait pas le break, et ça nous fait défaut. On manque de réalisme, de spontanéité. On a toujours des occasions nettes. Il y a aussi de la qualité en face. On doit être capable de faire le break. C’est le constat que l’on fait et qui nous coûte cher ", a déclaré Gourvennec dans des propos relayés par LePetitLillois.
A noter que l'état de la pelouse du stade Pierre Mauroy n'a pas facilité les choses pour les attaquants lillois. On pense notamment au gros loupé de Burak Yilmaz dans les derniers instants de la partie.
En effet, Lille n'a pu faire mieux qu'un match nul face au club angevin (1-1), alors que les hommes de Jocelyn Gourvennec avaient pourtant ouvert le score. Une énième contre-performance d'un LOSC pas assez tueur devant le but, qui agace sérieusement l'entraîneur breton de Lille.
" On a des très grosses occasions. Petkovic sort les arrêts qu’il faut. J’ai le même sentiment que celui qu’on avait contre Brest, on n’arrive pas à se mettre à l’abri. Ça nous coûte cher en terme comptable. On a du mal à enchaîner, on lâche des points. On voulait presser leur construction, sur les centraux de côté. C’est quelque chose qu’on a bien fait. C’est plus concernant les pertes de balle que ça a été compliqué. Je trouve qu’on a bien corrigé ça en deuxième. On lâche deux points, parce qu’on ne fait pas le break, et ça nous fait défaut. On manque de réalisme, de spontanéité. On a toujours des occasions nettes. Il y a aussi de la qualité en face. On doit être capable de faire le break. C’est le constat que l’on fait et qui nous coûte cher ", a déclaré Gourvennec dans des propos relayés par LePetitLillois.
A noter que l'état de la pelouse du stade Pierre Mauroy n'a pas facilité les choses pour les attaquants lillois. On pense notamment au gros loupé de Burak Yilmaz dans les derniers instants de la partie.