A la surprise générale, l'Olympique de Marseille qui n'a pas réussi à valider un ticket pour l'Europe à l'issue de la saison dernière, a livré un mercato plutôt ambitieux. En effet, si on prend en compte les options d'achat obligatoire, le président de l'OM, Pablo Longoria, a dépensé 130 millions d'euros lors du marché des transferts estival.
De lourdes dépenses qu'on nuancera toutefois avec les 81 millions d'euros de vente, plus les options d'achat de Samuel Gigot et Azzedine Ounahi qui ont respectivement été prêté à la Lazio Rome et au Panathinaïkos.
Néanmoins, la balance transferts est pour l'heure bien négative. Un risque pris par Longoria ? Visiblement non, d'autant plus qu'une bonne nouvelle est tombée ce vendredi.
Sous la surveillance de l’UEFA pour le respect des règles du fair play financier (FPF), l'OM a réussi à atteindre les objectifs financiers fixés pour l’année 2023.
En 2022, l’UEFA avait infligé des sanctions financières au club phocéen pour non-respect des règles comptables du FPF. Un plan de redressement sur trois ans avait alors été convenu, avec des objectifs financiers intermédiaires à atteindre chaque année. En 2023, l'OM a de nouveau rempli ces objectifs, démontrant sa capacité à respecter les règles imposées par l’instance européenne.
Malgré ces efforts, l’OM a écopé d’une amende de 20 000 euros pour avoir soumis ses bilans financiers en retard. Cette sanction est une piqure de rappel qui démontre que l'UEFA ne laissera rien passer, même pas une petite broutille.
Pour la première fois, l’UEFA a évalué les clubs selon une nouvelle règle de limitation de la masse salariale, progressivement mise en place sur trois ans. En 2023-2024, cette règle autorisait un déficit accru par rapport à la précédente, mais limitait la masse salariale à 90 % des revenus. Cette limitation passera à 80 % la saison prochaine, puis à 70 % en 2025.
Un bilan positif qui explique pourquoi l'Olympique de Marseille s'est montré plutôt ambitieux lors de ce mercato d'été, et cela malgré l'absence d'Europe. Toujours est-il que le club phocéen a été incité par l'UEFA à poursuivre ses efforts.
De lourdes dépenses qu'on nuancera toutefois avec les 81 millions d'euros de vente, plus les options d'achat de Samuel Gigot et Azzedine Ounahi qui ont respectivement été prêté à la Lazio Rome et au Panathinaïkos.
Néanmoins, la balance transferts est pour l'heure bien négative. Un risque pris par Longoria ? Visiblement non, d'autant plus qu'une bonne nouvelle est tombée ce vendredi.
Sous la surveillance de l’UEFA pour le respect des règles du fair play financier (FPF), l'OM a réussi à atteindre les objectifs financiers fixés pour l’année 2023.
En 2022, l’UEFA avait infligé des sanctions financières au club phocéen pour non-respect des règles comptables du FPF. Un plan de redressement sur trois ans avait alors été convenu, avec des objectifs financiers intermédiaires à atteindre chaque année. En 2023, l'OM a de nouveau rempli ces objectifs, démontrant sa capacité à respecter les règles imposées par l’instance européenne.
Malgré ces efforts, l’OM a écopé d’une amende de 20 000 euros pour avoir soumis ses bilans financiers en retard. Cette sanction est une piqure de rappel qui démontre que l'UEFA ne laissera rien passer, même pas une petite broutille.
Pour la première fois, l’UEFA a évalué les clubs selon une nouvelle règle de limitation de la masse salariale, progressivement mise en place sur trois ans. En 2023-2024, cette règle autorisait un déficit accru par rapport à la précédente, mais limitait la masse salariale à 90 % des revenus. Cette limitation passera à 80 % la saison prochaine, puis à 70 % en 2025.
Un bilan positif qui explique pourquoi l'Olympique de Marseille s'est montré plutôt ambitieux lors de ce mercato d'été, et cela malgré l'absence d'Europe. Toujours est-il que le club phocéen a été incité par l'UEFA à poursuivre ses efforts.