Depuis son arrivée en Bavière en août 2015, l'attaquant des Bleus s'épanouit aux côtés des meilleurs comme Robert Lewandowski. Le Français est récemment revenu à la compétition après quelques problèmes musculaires et la Covid-19 qui l'ont éloigné des terrains un bon moment en ce début d'année.
Ce week-end, Kingsley Coman a même retrouvé le chemin des filets contre l'Union Berlin qui n'a rien pu faire face à l'ogre bavarois (4-0). Cela faisait 3 mois que l'ailier gauche n'avait plus marqué, son dernier but remontait au 12 décembre et une courte victoire à domicile face à Mayence (2-1).
Invité du Canal Football Club ce dimanche, Coman est revenu sur son passage au Paris Saint-Germain et cette histoire avec son club formateur qui s'est arrêté très tôt. À seulement 18 ans, libre de tout contrat, il rejoint l'Italie et la Juventus Turin avant de faire ses gammes au Bayern Munich.
"Ce n'était pas financier. Je pensais que je méritais plus de temps de jeu. Cette situation, je ne pouvais pas l'avoir au PSG. J'avais demandé un prêt qui n'avait pas été accepté et c'est par la suite que j'ai pris cette décision. Chaque joueur a une évolution différente et c'est très compliqué de dire à la fin 'si on avait su'. Il y a des joueurs qui n'ont pas très bien évolué aussi. Comme je l'ai déjà dit, ce qui est difficile au PSG, c'est qu'ils veulent des résultats tout de suite. Avec le développement des jeunes, on n'a pas des résultats tout de suite. Il faut attendre trois ou quatre ans, peut-être qu'ils n'avaient pas cette patience là.", conclut l'international français.
Kingsley Coman pointe donc du doigt un problème récurent au sein du club de la capitale : le départ de ses jeunes. À l'image de Christopher Nkunku (24 ans) ou plus récemment Tanguy Kouassi (19 ans), les 'Titi' parisiens brillent à l'étranger, loin de leur club de cœur.
Ce week-end, Kingsley Coman a même retrouvé le chemin des filets contre l'Union Berlin qui n'a rien pu faire face à l'ogre bavarois (4-0). Cela faisait 3 mois que l'ailier gauche n'avait plus marqué, son dernier but remontait au 12 décembre et une courte victoire à domicile face à Mayence (2-1).
Invité du Canal Football Club ce dimanche, Coman est revenu sur son passage au Paris Saint-Germain et cette histoire avec son club formateur qui s'est arrêté très tôt. À seulement 18 ans, libre de tout contrat, il rejoint l'Italie et la Juventus Turin avant de faire ses gammes au Bayern Munich.
"Ce n'était pas financier. Je pensais que je méritais plus de temps de jeu. Cette situation, je ne pouvais pas l'avoir au PSG. J'avais demandé un prêt qui n'avait pas été accepté et c'est par la suite que j'ai pris cette décision. Chaque joueur a une évolution différente et c'est très compliqué de dire à la fin 'si on avait su'. Il y a des joueurs qui n'ont pas très bien évolué aussi. Comme je l'ai déjà dit, ce qui est difficile au PSG, c'est qu'ils veulent des résultats tout de suite. Avec le développement des jeunes, on n'a pas des résultats tout de suite. Il faut attendre trois ou quatre ans, peut-être qu'ils n'avaient pas cette patience là.", conclut l'international français.
Kingsley Coman pointe donc du doigt un problème récurent au sein du club de la capitale : le départ de ses jeunes. À l'image de Christopher Nkunku (24 ans) ou plus récemment Tanguy Kouassi (19 ans), les 'Titi' parisiens brillent à l'étranger, loin de leur club de cœur.