Transféré l'été dernier du RC Lens à l'Olympique de Marseille pour 7.5 millions d'euros hors bonus, Jonathan Clauss a vécu une première partie de saison mitigée, alternant le bon et le moins bon, et cela à l'image de l'OM qui a eu un gros trou d'air au mois d'octobre.
Il faut dire que le piston de 30 ans qui a découvert la Ligue des Champions, n'avait pas l'habitude de jouer tous les 3 jours. Le natif de Strasbourg a donc dû digérer ce nouveau rythme. Un rythme qui sera moins intensif lors de la deuxième partie de saison en raison de l'élimination du club phocéen de toutes les compétitons européennes.
Mais malgré une première partie de saison mitigée, Jonathan Clauss ne regrette par d'avoir rejoint l'Olympique de Marseille qu'il estime être un cran au dessus du RC Lens, même si pour l'heure les Sang et Or sont devant au classement de Ligue 1.
"Je pense que c’est les statuts. On sent qu’ici, on est monté d’un cran à ce sujet. Sans dénigrer Lens, il y a ici un Alexis Sanchez, un Dimitri Payet, un Mattéo Guendouzi. Ce sont des joueurs qui ont connu le très grand. C’est un vestiaire plus lourd en termes de palmarès, d’expérience. C’est la différence. On reste des hommes, c’est un groupe qui s’amuse ensemble. Si on ne fait pas cela, les saisons sont longues. On rigole toujours autant, les ambiances sont les mêmes. Quand je suis arrivé pour la première fois, je me suis dit que ce n’était pas le même vestiaire. Après, on apprend à découvrir les gens et on se rend compte que le palmarès ou l’expérience ne font pas la personne. Ce sont des a priori que j’avais au début. Je me suis demandé comment arriver dans un vestiaire comme celui-ci, moi qui ne me prends pas pour quelqu’un d’autre. Je ne me suis pas dit que j’étais quelqu’un avec des sélections en équipe de France, il faut me respecter. Je me suis dit que c’était à moi de m’adapter. Ensuite, si je peux amener ma touche, je le fais. C’est ce qui se passe en ce moment.", a t'il confié dans un entretien accordé à Footmercato.
Il faut dire que le piston de 30 ans qui a découvert la Ligue des Champions, n'avait pas l'habitude de jouer tous les 3 jours. Le natif de Strasbourg a donc dû digérer ce nouveau rythme. Un rythme qui sera moins intensif lors de la deuxième partie de saison en raison de l'élimination du club phocéen de toutes les compétitons européennes.
Mais malgré une première partie de saison mitigée, Jonathan Clauss ne regrette par d'avoir rejoint l'Olympique de Marseille qu'il estime être un cran au dessus du RC Lens, même si pour l'heure les Sang et Or sont devant au classement de Ligue 1.
"Je pense que c’est les statuts. On sent qu’ici, on est monté d’un cran à ce sujet. Sans dénigrer Lens, il y a ici un Alexis Sanchez, un Dimitri Payet, un Mattéo Guendouzi. Ce sont des joueurs qui ont connu le très grand. C’est un vestiaire plus lourd en termes de palmarès, d’expérience. C’est la différence. On reste des hommes, c’est un groupe qui s’amuse ensemble. Si on ne fait pas cela, les saisons sont longues. On rigole toujours autant, les ambiances sont les mêmes. Quand je suis arrivé pour la première fois, je me suis dit que ce n’était pas le même vestiaire. Après, on apprend à découvrir les gens et on se rend compte que le palmarès ou l’expérience ne font pas la personne. Ce sont des a priori que j’avais au début. Je me suis demandé comment arriver dans un vestiaire comme celui-ci, moi qui ne me prends pas pour quelqu’un d’autre. Je ne me suis pas dit que j’étais quelqu’un avec des sélections en équipe de France, il faut me respecter. Je me suis dit que c’était à moi de m’adapter. Ensuite, si je peux amener ma touche, je le fais. C’est ce qui se passe en ce moment.", a t'il confié dans un entretien accordé à Footmercato.
Interrogé ensuite au sujet de Franck Haise, Jonathan Clauss s'est montré dithyrambique à l'égard de l'entraîneur du RC Lens qu'il a qualifié de "deuxième père".
"J’ai eu des coaches qui m’ont fait confiance. Lui, c’était plus que cela. Il me parlait de l’équipe de France au bout de six mois alors que je n’avais jamais joué en Ligue 1. Au-delà de ça, après le premier coup de fil qu’on a eu ensemble, pour moi, c’était évident. Je savais que j’allais venir, que Lens soit en Ligue 1 ou non. J’ai eu un feeling avec lui… Sans dénigrer mon père, parce que c’est mon père (rires), j’ai trouvé un deuxième père de famille. Dans sa façon de me diriger, c’était dingue. Je ne sais pas si c’était qu’avec moi, mais je l’ai ressenti comme ça. C’était hallucinant. Je retrouvais mon père dans Franck Haise."
"J’ai eu des coaches qui m’ont fait confiance. Lui, c’était plus que cela. Il me parlait de l’équipe de France au bout de six mois alors que je n’avais jamais joué en Ligue 1. Au-delà de ça, après le premier coup de fil qu’on a eu ensemble, pour moi, c’était évident. Je savais que j’allais venir, que Lens soit en Ligue 1 ou non. J’ai eu un feeling avec lui… Sans dénigrer mon père, parce que c’est mon père (rires), j’ai trouvé un deuxième père de famille. Dans sa façon de me diriger, c’était dingue. Je ne sais pas si c’était qu’avec moi, mais je l’ai ressenti comme ça. C’était hallucinant. Je retrouvais mon père dans Franck Haise."