Gros séisme du côté des Girondins de Bordeaux avec l'annonce du désengagement de son actionnaire principal, King Street. En effet, le fonds d'investissement américain a annoncé dans un communiqué qu'il ne souhaitait plus « soutenir le club et financer ses besoins actuels et futurs ». De ce fait, le FCGB a été placé sous protection du tribunal de commerce de Bordeaux. Une procédure de sauvegarde qui permet de geler les dettes, et donc de trouver une solution - qui passera ici par une vente du club - tout en continuant l'activité, et donc d'éviter pour l'heure une rétrogradation administrative.
Gérard Lopez candidat au rachat des Girondins de Bordeaux ? La grosse blague
Désormais donc à la rechercher d'un repreneur, les Girondins des Bordeaux disposeraient de deux pistes, dont une qui semble totalement fantaisiste.
La première mène à l'homme d'affaires bordelais Bruno Fievet, candidat de longue date, même si ce dernier a récemment annoncé avoir jeté l'éponge. L'évolution de la situation pourrait toutefois le faire changer l'avis.
La seconde mènerait selon L'Equipe à Gérard Lopez, mais il faut avouer qu'on y croit pas une seule seconde. Totalement décrédibilisé dans le milieu de foot suite à sa mauvaise gestion du LOSC, club qu'il a été forcé de céder à Callisto Sporting S.à.r.l, propriété de Merlyn Partners SCSp, l'homme d'affaire luxembourgeois est également en train de laisser mourir la formation belge du Royal Excel Mouscron. On ne voit donc pas comment Gérard Lopez pourrait être en mesure d'aligner les 70/80 millions d'euros pour éponger le déficit des Girondins de Bordeaux, et d'injecter de l'argent pour relancer la machine.
La première mène à l'homme d'affaires bordelais Bruno Fievet, candidat de longue date, même si ce dernier a récemment annoncé avoir jeté l'éponge. L'évolution de la situation pourrait toutefois le faire changer l'avis.
La seconde mènerait selon L'Equipe à Gérard Lopez, mais il faut avouer qu'on y croit pas une seule seconde. Totalement décrédibilisé dans le milieu de foot suite à sa mauvaise gestion du LOSC, club qu'il a été forcé de céder à Callisto Sporting S.à.r.l, propriété de Merlyn Partners SCSp, l'homme d'affaire luxembourgeois est également en train de laisser mourir la formation belge du Royal Excel Mouscron. On ne voit donc pas comment Gérard Lopez pourrait être en mesure d'aligner les 70/80 millions d'euros pour éponger le déficit des Girondins de Bordeaux, et d'injecter de l'argent pour relancer la machine.