Franck Haise, aujourd'hui entraîneur de l'OGC Nice, revient sur les raisons de son départ du RC Lens après plusieurs années intenses. Dans une interview à Ouest-France, il révèle avoir été proche du burn-out lors de sa dernière saison dans l'Artois. La fatigue physique et mentale s'est accumulée, notamment en raison de la double casquette qu'il cumulait : entraîneur principal et manager général. Une charge de travail considérable, intensifiée par la participation du club à la Ligue des Champions.
" La fatigue, je l’avais ressenti car j’avais deux postes importants en même temps à Lens, dans une année de Ligue des champions en plus. J’ai eu raison d’arrêter le poste de manager, même si j’avais aimé et j’aimerais certainement, dans ma dernière partie de vie professionnelle, retrouver un poste dans la direction sportive et technique d’un club. C’était intéressant à vivre, mais c’était compliqué de mener les deux", a t'il confié.
Conscient de la nécessité de se préserver, Haise a pris la décision de quitter Lens pour relever un nouveau défi à Nice. Un choix qu'il ne regrette absolument pas, soulignant avoir conservé des souvenirs exceptionnels de son passage dans le Nord. A Nice, il a décidé de lâcher du lest et de privilégier son bien-être. Il a notamment réduit ses heures de travail et accorde plus de temps à sa vie personnelle. Il a également intégré des pratiques de gestion du stress dans sa routine, comme le stretch matinal et la consultation de psychologues.
Haise tire un signal d'alarme sur la nécessité de prendre soin de sa santé mentale, notamment dans le milieu du football professionnel. Son témoignage, sincère et poignant, met en lumière les pressions énormes qui pèsent sur les entraîneurs et l'importance de se fixer des limites pour éviter le craquage.
" La fatigue, je l’avais ressenti car j’avais deux postes importants en même temps à Lens, dans une année de Ligue des champions en plus. J’ai eu raison d’arrêter le poste de manager, même si j’avais aimé et j’aimerais certainement, dans ma dernière partie de vie professionnelle, retrouver un poste dans la direction sportive et technique d’un club. C’était intéressant à vivre, mais c’était compliqué de mener les deux", a t'il confié.
Conscient de la nécessité de se préserver, Haise a pris la décision de quitter Lens pour relever un nouveau défi à Nice. Un choix qu'il ne regrette absolument pas, soulignant avoir conservé des souvenirs exceptionnels de son passage dans le Nord. A Nice, il a décidé de lâcher du lest et de privilégier son bien-être. Il a notamment réduit ses heures de travail et accorde plus de temps à sa vie personnelle. Il a également intégré des pratiques de gestion du stress dans sa routine, comme le stretch matinal et la consultation de psychologues.
Haise tire un signal d'alarme sur la nécessité de prendre soin de sa santé mentale, notamment dans le milieu du football professionnel. Son témoignage, sincère et poignant, met en lumière les pressions énormes qui pèsent sur les entraîneurs et l'importance de se fixer des limites pour éviter le craquage.