À moins d'un miracle lors de cette 38ème journée, les Girondins de Bordeaux vont bel et bien connaître la relégation à l'issue d'une saison catastrophique tant sur le plan sportif qu'en interne. En attendant, la lanterne rouge pourra sauver l'honneur (du moins ce qu'il en reste) en montrant le meilleur visage sur la pelouse de Brest dans, ce qui semble être, le dernier match en Ligue 1 des bordelais pendant une voire plusieurs saisons.
Car oui, tout est à reconstruire au sein du club Marine et Blanc et en coulisse, on s'inquiète pour le sort que leur réserve la DNCG... Les Girondins pourraient bien être rétrogradés plus bas (que la Ligue 2). Les dirigeants devront attendre la décision prise par la Direction Nationale du Contrôle de Gestion le 15 juin prochain.
Car oui, tout est à reconstruire au sein du club Marine et Blanc et en coulisse, on s'inquiète pour le sort que leur réserve la DNCG... Les Girondins pourraient bien être rétrogradés plus bas (que la Ligue 2). Les dirigeants devront attendre la décision prise par la Direction Nationale du Contrôle de Gestion le 15 juin prochain.
Une situation encore plus critique que la Ligue 2
Invité dans l'émission 100% Girondins sur France Bleu, l'ex-président de la DNCG, François Ponthieu n'a pas caché son inquiétude concernant la situation du club bordelais en pleine crise économique. Pas l'idéal avant de se présenter devant la DNCG dans moins d'un mois...
"Si en situation nette, au 30 juin vous avez des moins, il va falloir absolument les combler sinon le club ne sera pas autorisé à repartir la saison prochaine. S'il y a un déficit, il faut absolument le combler. (...) Pour Bordeaux, ça dépend du cas de figure, ça dépend des investisseurs, ça dépend du club, ça dépend de beaucoup de choses parce que vous savez que dans une situation économique, c'est comme dans une entreprise. Il y a beaucoup de choses qui se disent, surtout dans le football, qui s'écrivent, qui s'entendent, mais il y a aussi beaucoup de choses qu'on ne connaît pas. On ne sait pas du tout quelle est la situation financière du club aujourd'hui, moi je ne la connais pas en tout cas.", a lâché François Ponthieu.
Il faut dire que les dettes des Girondins de Bordeaux s'élèvent à environ 40 millions d'euros dont la moitié aurait déjà été comblée grâce aux droits TV et au CVC, le fonds d'investissement (d'après L'Équipe). Il reste donc 20 millions à trouver avant la mi-juin. Ce sera la mission de Gérard Lopez, propriétaire du club, avant de passer sur le grill de la DNCG...
"Si en situation nette, au 30 juin vous avez des moins, il va falloir absolument les combler sinon le club ne sera pas autorisé à repartir la saison prochaine. S'il y a un déficit, il faut absolument le combler. (...) Pour Bordeaux, ça dépend du cas de figure, ça dépend des investisseurs, ça dépend du club, ça dépend de beaucoup de choses parce que vous savez que dans une situation économique, c'est comme dans une entreprise. Il y a beaucoup de choses qui se disent, surtout dans le football, qui s'écrivent, qui s'entendent, mais il y a aussi beaucoup de choses qu'on ne connaît pas. On ne sait pas du tout quelle est la situation financière du club aujourd'hui, moi je ne la connais pas en tout cas.", a lâché François Ponthieu.
Il faut dire que les dettes des Girondins de Bordeaux s'élèvent à environ 40 millions d'euros dont la moitié aurait déjà été comblée grâce aux droits TV et au CVC, le fonds d'investissement (d'après L'Équipe). Il reste donc 20 millions à trouver avant la mi-juin. Ce sera la mission de Gérard Lopez, propriétaire du club, avant de passer sur le grill de la DNCG...
